Dans le cadre de la lutte contre la montée fulgurante de l’immigration clandestine et pour servir d’exemple aux autres, plus de 350 immigrés clandestins ont été rapatriés le 23 février par les services de la Direction générale de la documentation et de l’immigration (DGDI) dans leur pays respectifs.
Ce sont au total, 80 maliens, 63 camerounais, 39 sénégalais, 30 burkinabés, 26 guinéens (Conakry), 21 nigérians, 20 nigériens, 17 togolais, 15 béninois, 8 santoméens, 4 congolais (Brazzaville), 6 congolais (RD Congo), 2 tchadiens, 2 équato-guinéens, 1 tunisien, 1 français et 23 ressortissants d’autres pays qui ont été reconduits à la frontière par voies maritimes et terrestre.
Selon une source officielle, La DGDI a profité de la présence d’un navire santoméen pour reconduire près 232 ouest africains sur 271 au total à destination de Calabar, au Nigéria, où ils devraient être acheminés avant de rejoindre leurs pays respectifs.
Depuis quelques années, le Gabon a renforcé sa politique en matière d’immigration. Des milliers de travailleurs immigrés sont attirés par la relative prospérité du pays, de plus en plus en provenance de la région ouest-africaine.
Cette opération qui concernait notamment les détenteurs de titres de séjour de courte durée qui après expiration refusent de quitter le territoire gabonais a également permis de se pencher sur ceux dont les titres de séjour sont arrivés à terme depuis des années et ceux n’ayant aucune carte de séjour.
Ces dernières semaines, l’opération s’est matérialisée par des contrôles musclés, décriés par plusieurs ressortissants étrangers. Dans de nombreux points névralgiques de la capitale, les forces de l’ordre avaient érigé des barricades et contrôlaient les véhicules particuliers et les taxis. A d’autres endroits, certains témoins racontaient que les forces de l’ordre pratiquaient des contrôles massifs s’apparentant à des rafles, avant d’emmener tous ceux qui ont été trouvés sans carte de séjour dans un bus de la DGDI.
Ce sont au total, 80 maliens, 63 camerounais, 39 sénégalais, 30 burkinabés, 26 guinéens (Conakry), 21 nigérians, 20 nigériens, 17 togolais, 15 béninois, 8 santoméens, 4 congolais (Brazzaville), 6 congolais (RD Congo), 2 tchadiens, 2 équato-guinéens, 1 tunisien, 1 français et 23 ressortissants d’autres pays qui ont été reconduits à la frontière par voies maritimes et terrestre.
Selon une source officielle, La DGDI a profité de la présence d’un navire santoméen pour reconduire près 232 ouest africains sur 271 au total à destination de Calabar, au Nigéria, où ils devraient être acheminés avant de rejoindre leurs pays respectifs.
Depuis quelques années, le Gabon a renforcé sa politique en matière d’immigration. Des milliers de travailleurs immigrés sont attirés par la relative prospérité du pays, de plus en plus en provenance de la région ouest-africaine.
Cette opération qui concernait notamment les détenteurs de titres de séjour de courte durée qui après expiration refusent de quitter le territoire gabonais a également permis de se pencher sur ceux dont les titres de séjour sont arrivés à terme depuis des années et ceux n’ayant aucune carte de séjour.
Ces dernières semaines, l’opération s’est matérialisée par des contrôles musclés, décriés par plusieurs ressortissants étrangers. Dans de nombreux points névralgiques de la capitale, les forces de l’ordre avaient érigé des barricades et contrôlaient les véhicules particuliers et les taxis. A d’autres endroits, certains témoins racontaient que les forces de l’ordre pratiquaient des contrôles massifs s’apparentant à des rafles, avant d’emmener tous ceux qui ont été trouvés sans carte de séjour dans un bus de la DGDI.