Le site internet participatif est déjà opérationnel et ses contributeurs se mobilisent, alors que s’ouvre demain la campagne électorale qui durera pendant trois semaines.
Amadou Barry a interrogé Modou Joof (Diouf), du Syndicat des journalistes gambiens, l’un des fondateurs du consortium de journalistes.
« Au bout d’une formation de plusieurs jours, organisée par la Gambia Press Union en partenariat avec l’Unesco, une trentaine de journalistes ont mis en place un site internet dénommé fact-check Gambia, pour aller à la chasse aux fausses informations qui ont la particularité d’être partagées de façon virale sur la Toile.
Cette équipe aura la lourde tâche de vérifier au quotidien les infox qui circulent pour éclairer la lanterne de concitoyens. L’idée est simple : nous sommes dans une période électorale où les rumeurs, les fausses informations font florès. Que ça soit des politiciens en quête de voix ou des individus mal intentionnés tout simplement qui distillent à foison les fake news.
Aucun pays n’est à l’abri. Pas les grandes puissances, a fortiori chez nous. Et c’est le rôle fondamental du professionnel des médias de vérifier afin d’infirmer ou de confirmer une information avant de la relayer afin que l’électeur soit suffisamment outillé sur son choix le jour du vote.
Alors que les policiers ou les partisans soient prévenus : toute rumeur ou fausse info sera démasquée et infirmée dans un temps record. L’autre question, c’est comment vulgariser aussi vite les infos certifiées. Nous sommes mobilisés et restons alertes. Une trentaine de journalistes, c’est une grosse équipe. Nous serons à l’affut de fakes news dans les rassemblements politiques ou sur la Toile. »
Emedia
Amadou Barry a interrogé Modou Joof (Diouf), du Syndicat des journalistes gambiens, l’un des fondateurs du consortium de journalistes.
« Au bout d’une formation de plusieurs jours, organisée par la Gambia Press Union en partenariat avec l’Unesco, une trentaine de journalistes ont mis en place un site internet dénommé fact-check Gambia, pour aller à la chasse aux fausses informations qui ont la particularité d’être partagées de façon virale sur la Toile.
Cette équipe aura la lourde tâche de vérifier au quotidien les infox qui circulent pour éclairer la lanterne de concitoyens. L’idée est simple : nous sommes dans une période électorale où les rumeurs, les fausses informations font florès. Que ça soit des politiciens en quête de voix ou des individus mal intentionnés tout simplement qui distillent à foison les fake news.
Aucun pays n’est à l’abri. Pas les grandes puissances, a fortiori chez nous. Et c’est le rôle fondamental du professionnel des médias de vérifier afin d’infirmer ou de confirmer une information avant de la relayer afin que l’électeur soit suffisamment outillé sur son choix le jour du vote.
Alors que les policiers ou les partisans soient prévenus : toute rumeur ou fausse info sera démasquée et infirmée dans un temps record. L’autre question, c’est comment vulgariser aussi vite les infos certifiées. Nous sommes mobilisés et restons alertes. Une trentaine de journalistes, c’est une grosse équipe. Nous serons à l’affut de fakes news dans les rassemblements politiques ou sur la Toile. »
Emedia