Selon Michèle Eken, chercheuse sur l’Afrique de l’Ouest à Amnesty International, «le rapport de la Commission doit ouvrir la voie à un engagement sans équivoque des autorités gambiennes, sur le fait que la justice et des réparations seront enfin accordées aux victimes de décennies de violations des droits humains commises sous le régime du président Yahya Jammeh».
Mise sur pied en décembre 2017, cette Commission avait pour objectif principal, d’établir un bilan historique, impartial, des violations et des atteintes aux droits humains commises de juillet 1994 à janvier 2017, en vue de «promouvoir la guérison et la réconciliation, répondre aux besoins des victimes, lutter contre l’impunité et prévenir la répétition des violations et des atteintes subies en formulant des recommandations visant à créer des mécanismes de prévention adaptés, notamment des réformes institutionnelles et légales», souligne un document d’Amnesty international.
Elle était également chargée d’établir et de faire connaître le sort réservé aux victimes disparues et d’accorder des réparations aux victimes dans les cas appropriés.
Mise sur pied en décembre 2017, cette Commission avait pour objectif principal, d’établir un bilan historique, impartial, des violations et des atteintes aux droits humains commises de juillet 1994 à janvier 2017, en vue de «promouvoir la guérison et la réconciliation, répondre aux besoins des victimes, lutter contre l’impunité et prévenir la répétition des violations et des atteintes subies en formulant des recommandations visant à créer des mécanismes de prévention adaptés, notamment des réformes institutionnelles et légales», souligne un document d’Amnesty international.
Elle était également chargée d’établir et de faire connaître le sort réservé aux victimes disparues et d’accorder des réparations aux victimes dans les cas appropriés.