La région de la Casamance, au Sud du Sénégal, a connu depuis décembre 2010 une recrudescence des affrontements entre les forces armées sénégalaises et des groupes armés. Des centaines de personnes ont dû fuir pour trouver refuge dans des familles d'accueil de l'autre côté de la frontière, en Gambie, venant ainsi gonfler le rang de quelques 6'000 réfugiés sénégalais déjà présents dans ce pays frontalier.
"Ces personnes ont été contraintes de fuir sans pouvoir rien emporter," explique Jean-Luc Metzker, chef de la mission du CICR en Gambie. "Les réserves alimentaires venant à manquer, la Croix-Rouge a décidé de leur venir en aide avec une assistance d'urgence."
A travers sa nouvelle mission à Banjul, le CICR continuera de suivre de près la situation de ces réfugiés ainsi que de tout nouvel afflux de population qui pourrait arriver dans le pays. Le CICR travaille en étroite collaboration avec la Croix-Rouge gambienne et coordonne son action avec les autorités gambiennes et d'autres agences humanitaires.
"Ces personnes ont été contraintes de fuir sans pouvoir rien emporter," explique Jean-Luc Metzker, chef de la mission du CICR en Gambie. "Les réserves alimentaires venant à manquer, la Croix-Rouge a décidé de leur venir en aide avec une assistance d'urgence."
A travers sa nouvelle mission à Banjul, le CICR continuera de suivre de près la situation de ces réfugiés ainsi que de tout nouvel afflux de population qui pourrait arriver dans le pays. Le CICR travaille en étroite collaboration avec la Croix-Rouge gambienne et coordonne son action avec les autorités gambiennes et d'autres agences humanitaires.