"Compte tenu du contexte de la pandémie et après échanges avec l’ensemble des acteurs, les plus hautes autorités de Médina Baye ont décidé de renoncer à la tenue de l’édition 2021 du Gamou de Taïba Niassène", a confié à l’APS, une source proche des organisateurs.
L’édition 2021 du Gamou annuel de Taïba Niassène était initialement prévue au courant du mois de févier. Elle devait être le premier Gamou de Taïba Niassène sous le khalifat de Cheikh Mahi Ibrahima Niass, en fonction depuis près de six mois après la disparition de son frère aîné Cheikh Ahmad Tidiane Ibrahima Niass.
Taïba Niassène, cité symbolique où naquit Cheikh Ibrahima Niass au début du 20ème siècle abrite la plus grande cérémonie religieuse de la Faydatou Tidjania après le Mawlid international de Médina Baye qui célèbre la naissance du Prophète de l’islam (PSL).
Plusieurs milliers de fidèles venant des contrées du Sénégal et des pays étrangers y convergent chaque année pour la célébration de la naissance de leur guide Cheikh Ibrahima Niass.
"Certes, nous allons renoncer à la tenue du Gamou pour éviter les rassemblements dans ce contexte de pandémie de Covid-19. Mais nous allons réfléchir sur des stratégies innovantes en vue d’organiser des conférences virtuelles se rapportant à la thématique du Gamou", a ajouté la même source.
L’édition 2021 du Gamou annuel de Taïba Niassène était initialement prévue au courant du mois de févier. Elle devait être le premier Gamou de Taïba Niassène sous le khalifat de Cheikh Mahi Ibrahima Niass, en fonction depuis près de six mois après la disparition de son frère aîné Cheikh Ahmad Tidiane Ibrahima Niass.
Taïba Niassène, cité symbolique où naquit Cheikh Ibrahima Niass au début du 20ème siècle abrite la plus grande cérémonie religieuse de la Faydatou Tidjania après le Mawlid international de Médina Baye qui célèbre la naissance du Prophète de l’islam (PSL).
Plusieurs milliers de fidèles venant des contrées du Sénégal et des pays étrangers y convergent chaque année pour la célébration de la naissance de leur guide Cheikh Ibrahima Niass.
"Certes, nous allons renoncer à la tenue du Gamou pour éviter les rassemblements dans ce contexte de pandémie de Covid-19. Mais nous allons réfléchir sur des stratégies innovantes en vue d’organiser des conférences virtuelles se rapportant à la thématique du Gamou", a ajouté la même source.