
Par contre, explique toujours le Promoteur, ce sont les parlementaires eux-mêmes qui jouissent des ‘’grâce’’ de la lutte. Selon Gaston, « certains parlementaires ont utilisé la lutte pour se faire un nom et devenir ce qu’ils sont aujourd’hui. Il arrivait même qu’ils appellent pour qu’on leur parraine des combats, afin de devenir célèbre.»