Une fraction est née en son sein, parce que depuis le lancement de « l’Union pour la majorité du concret », des membres du mouvement « politique » de Karim, ne cessent de monter au créneau pour clouer au pilori les initiateurs de la nouvelle trouvaille. Ils estiment qu’elle risque d’être sujet à confusion, voire une agitation brandie par des politiciens du dimanche, voulant juste profiter de la position de Karim.
La « case » du fils du président Wade brûle, parce qu’encore, son second, de fait, le ministre d’État et non moins maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé est, maintenant, décrié par les « concrétistes » : on lui prête de ramer à contre-courant du mouvement. Pis, il serait entrain de travailler à la liquidation de la « génération du concret », dont des libéraux « authentiques » exigent la dissolution. Les partisans de Baldé pour leur part dénoncent l’ingratitude du mouvement de Karim : il n’aurait pas respecté ses engagements envers les jeunes de l’unique commune raflé par un de ses membres : la capitale du sud du Sénégal.
La bataille rangée au sein de leur mouvement rappelle, à quelques égards, celle qui oppose les anciens deux premiers d’And Jëf ; sauf que derrière la guerre que se mènent Decroix et Landing est commanditée et financée par le président Wade. Il est évident que vis-à-vis du mouvement, illégal, de son fils, s’il ne joue pas au sapeur-pompier, il ne le dissoudra pour rien au monde. Le président Wade ne freine pas son fils, il lui obéit. La « case » de Karim brûle, mais il est si loin et très chargé qu’il préfère user de son unique stratégie : sourire, se terrer et laisser pourrir.
La « case » du fils du président Wade brûle, parce qu’encore, son second, de fait, le ministre d’État et non moins maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé est, maintenant, décrié par les « concrétistes » : on lui prête de ramer à contre-courant du mouvement. Pis, il serait entrain de travailler à la liquidation de la « génération du concret », dont des libéraux « authentiques » exigent la dissolution. Les partisans de Baldé pour leur part dénoncent l’ingratitude du mouvement de Karim : il n’aurait pas respecté ses engagements envers les jeunes de l’unique commune raflé par un de ses membres : la capitale du sud du Sénégal.
La bataille rangée au sein de leur mouvement rappelle, à quelques égards, celle qui oppose les anciens deux premiers d’And Jëf ; sauf que derrière la guerre que se mènent Decroix et Landing est commanditée et financée par le président Wade. Il est évident que vis-à-vis du mouvement, illégal, de son fils, s’il ne joue pas au sapeur-pompier, il ne le dissoudra pour rien au monde. Le président Wade ne freine pas son fils, il lui obéit. La « case » de Karim brûle, mais il est si loin et très chargé qu’il préfère user de son unique stratégie : sourire, se terrer et laisser pourrir.