Il faut dire qu’il n’en finit pas de dire au revoir. Depuis la fin du mois de décembre, George Bush a enchaîné toute une série d’interviews. Ces derniers jours, il a fait ses adieux aux corps constitués, à la presse. Mais pour ce qui est présenté comme sa dernière apparition publique, 112 heures précisément avant la fin de son mandat, le président sortant a choisi de prononcer un message à la Nation, retransmis à l’heure de grande écoute sur les chaînes de télévision.
Il n’est pas certain, cependant, qu’il ait battu des records d’audience. Un récent sondage montrait que 75% des Américains étaient contents de le voir partir, jamais depuis Richard Nixon un président en fin de mandat n’avait été jugé aussi sévèrement.
Un bilan solide
George Bush a donc tenté de dresser son bilan mais surtout de le défendre, et très clairement pour George Bush les deux mandats auront été placés principalement sous le signe du 11-Septembre. « Certains ont pu reprendre leur vie d’avant mais moi jamais », dit-il, en expliquant qu’il a tout mis en œuvre pour éviter une nouvelle attaque terroriste sur le sol américain.
Le président sortant explique que l’Irak est aujourd’hui une démocratie arabe, qu’en Afghanistan les petites filles vont désormais à l’école, bref que les deux guerres dans lesquelles les Etats-Unis sont engagées vont dans le bon sens. Droit dans ses bottes, George Bush, a assuré qu’il a toujours agi selon sa conscience et qu’il a toujours fait ce qu’il pensait être bon pour l’Amérique.
C’est donc une page de l’histoire des Etats-Unis qui s’est tournée hier soir. Une autre s’ouvrira mardi avec l’investiture de Barack Obama. Barack Obama dont la prestation de serment sera, dit George Bush, « un moment de fierté et d’espoir pour le pays tout entier ».
Il n’est pas certain, cependant, qu’il ait battu des records d’audience. Un récent sondage montrait que 75% des Américains étaient contents de le voir partir, jamais depuis Richard Nixon un président en fin de mandat n’avait été jugé aussi sévèrement.
Un bilan solide
George Bush a donc tenté de dresser son bilan mais surtout de le défendre, et très clairement pour George Bush les deux mandats auront été placés principalement sous le signe du 11-Septembre. « Certains ont pu reprendre leur vie d’avant mais moi jamais », dit-il, en expliquant qu’il a tout mis en œuvre pour éviter une nouvelle attaque terroriste sur le sol américain.
Le président sortant explique que l’Irak est aujourd’hui une démocratie arabe, qu’en Afghanistan les petites filles vont désormais à l’école, bref que les deux guerres dans lesquelles les Etats-Unis sont engagées vont dans le bon sens. Droit dans ses bottes, George Bush, a assuré qu’il a toujours agi selon sa conscience et qu’il a toujours fait ce qu’il pensait être bon pour l’Amérique.
C’est donc une page de l’histoire des Etats-Unis qui s’est tournée hier soir. Une autre s’ouvrira mardi avec l’investiture de Barack Obama. Barack Obama dont la prestation de serment sera, dit George Bush, « un moment de fierté et d’espoir pour le pays tout entier ».
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