Selon Pierre Ibrahima Eloi Sarr, il faut créer des espaces de dialogue et de concertation entre les acteurs pour anticiper les problèmes. «Pour qu’il y ait la paix à l’université, il faut créer des centres d’écoute dans les universités. Les différents acteurs pourront se retrouver pour discuter et dialoguer pour anticiper dans la gestion des crises. les acteurs doivent se retrouver de temps en temps», explique M. Sarr.
Le paiement des bourses, la communication, la massification sont, entre autres, des maux qui engendrent souvent des conflits dans les espaces universitaires.
«Le Cacsup a la chance de travailler avec toutes les amicales, au Sénégal, comme au niveau africain. Nous lançons un appel pour la création de médiateur dans toutes les universités. La médiateur de l’université Cheikh Anta Diop Dakar a fait ses preuves», se réjouit-il.
Le directeur du Cacsup s’exprimait, lors du 3e colloque international axé sur religion, droits de l’homme et paix. Il est organisé par le collectif africain pour la paix. Le choix est porté sur l'institut communautaire africain de gestion et d'ingénierie, ICAGI Makhtar Mbow et L’IPS.
Ce colloque entre dans le cadre de la culture de la paix. Le thème choisi, cette année, porte sur «La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE)».
À en croire les organisateurs du colloque, la RSE est devenue un outil incontournable pour le développement du continent africain. «Il est important de discuter avec les étudiants, futurs cadres du continent, de la notion de RSE. Nous invitons les gouvernants à veiller à l’application de la RSE pour le respect des droits des travailleurs».
Tribune
Le paiement des bourses, la communication, la massification sont, entre autres, des maux qui engendrent souvent des conflits dans les espaces universitaires.
«Le Cacsup a la chance de travailler avec toutes les amicales, au Sénégal, comme au niveau africain. Nous lançons un appel pour la création de médiateur dans toutes les universités. La médiateur de l’université Cheikh Anta Diop Dakar a fait ses preuves», se réjouit-il.
Le directeur du Cacsup s’exprimait, lors du 3e colloque international axé sur religion, droits de l’homme et paix. Il est organisé par le collectif africain pour la paix. Le choix est porté sur l'institut communautaire africain de gestion et d'ingénierie, ICAGI Makhtar Mbow et L’IPS.
Ce colloque entre dans le cadre de la culture de la paix. Le thème choisi, cette année, porte sur «La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE)».
À en croire les organisateurs du colloque, la RSE est devenue un outil incontournable pour le développement du continent africain. «Il est important de discuter avec les étudiants, futurs cadres du continent, de la notion de RSE. Nous invitons les gouvernants à veiller à l’application de la RSE pour le respect des droits des travailleurs».
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