<iframe frameborder="0" width="480" height="270" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xss1mj_baup-heureusement-qu-ils-s-enervent_sport"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/xss1mj_baup-heureusement-qu-ils-s-enervent_sport" target="_blank">Baup : "Heureusement qu'ils s'énervent"</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/evidenceprod" target="_blank">evidenceprod</a></i>
Le 29 janvier. La dernière victoire de l’Olympique de Marseille en déplacement datait de l’hiver dernier. Cette triste statistique s’est envolée depuis hier soir et le succès phocéen sur la pelouse de Reims (0-1) pour la première journée de L1. Trois points importants pour valider le projet de jeu d’Elie Baup. Sous la houlette du coach à la casquette, le onze olympien a changé. Pas tant sur la feuille de match, mais plutôt dans le style affiché.
La conservation collective du ballon et un jeu résolument tourné vers l’offensive : l’OM 2012/13 est plus joueur. Pour autant, l’équilibre est fragile. « L’état d’esprit est bon. Il faut améliorer certains détails comme la transmission, la vigilance défensive. On a deux latéraux qui participent beaucoup, on a des milieux comme Benoît Cheyrou buteur ce soir, on est une équipe tournée vers l’avant. Mais ça laisse aussi des contres », a lancé le coach olympien.
On comprend son discours prudent puisque si l’OM a maîtrisé les débats, techniquement notamment, il a aussi concédé des occasions très franches. Et sans un grand Steve Mandanda, auteur de trois parades décisives, le score aurait pu être tout autre. À l’autre bout du terrain, André-Pierre Gignac, affûté et tranchant, a lui manqué de lucidité dans le dernier geste, comme il l’a confié dans les colonnes de La Provence.
« J’aurais pu faire un meilleur choix, nous en avons discuté avec Franck Passi. Dans la surface, j’ai pris la décision de frapper en un millième de seconde, mais la prochaine fois, je lèverai la tête. C’est cadré, Agassa fait un bel arrêt, mais il y avait un partenaire tout seul en retrait », a-t-il lâché. Comme APG, l’OM peut donc mieux faire mais la première sortie de la maison est encourageante. Voyons dans quel état la fin du mercato laissera les pensionnaires du Vélodrome.
Alexis Pereira
Le 29 janvier. La dernière victoire de l’Olympique de Marseille en déplacement datait de l’hiver dernier. Cette triste statistique s’est envolée depuis hier soir et le succès phocéen sur la pelouse de Reims (0-1) pour la première journée de L1. Trois points importants pour valider le projet de jeu d’Elie Baup. Sous la houlette du coach à la casquette, le onze olympien a changé. Pas tant sur la feuille de match, mais plutôt dans le style affiché.
La conservation collective du ballon et un jeu résolument tourné vers l’offensive : l’OM 2012/13 est plus joueur. Pour autant, l’équilibre est fragile. « L’état d’esprit est bon. Il faut améliorer certains détails comme la transmission, la vigilance défensive. On a deux latéraux qui participent beaucoup, on a des milieux comme Benoît Cheyrou buteur ce soir, on est une équipe tournée vers l’avant. Mais ça laisse aussi des contres », a lancé le coach olympien.
On comprend son discours prudent puisque si l’OM a maîtrisé les débats, techniquement notamment, il a aussi concédé des occasions très franches. Et sans un grand Steve Mandanda, auteur de trois parades décisives, le score aurait pu être tout autre. À l’autre bout du terrain, André-Pierre Gignac, affûté et tranchant, a lui manqué de lucidité dans le dernier geste, comme il l’a confié dans les colonnes de La Provence.
« J’aurais pu faire un meilleur choix, nous en avons discuté avec Franck Passi. Dans la surface, j’ai pris la décision de frapper en un millième de seconde, mais la prochaine fois, je lèverai la tête. C’est cadré, Agassa fait un bel arrêt, mais il y avait un partenaire tout seul en retrait », a-t-il lâché. Comme APG, l’OM peut donc mieux faire mais la première sortie de la maison est encourageante. Voyons dans quel état la fin du mercato laissera les pensionnaires du Vélodrome.
Alexis Pereira