Les produits Google sont très répandus dans les écoles américaines. A la rentrée dernière, plus de la moitié des ordinateurs ou tablettes achetés par des établissements scolaires étaient des Chromebooks, les portables low cost de Google. Pour les écoles, Google fournit non seulement les ordinateurs à bas prix, mais des licences gratuites pour ses logiciels. De par le monde, plus de 50 millions d'élèves et professeurs utilisent des offres du géant californien.
En effet, les données des élèves qui utilisent ses ordinateurs et ses logiciels sont utilisés par la marque californienne. Tous les sites web récoltent des données d'usage. Ces dernières peuvent être utilisées pour cibler de la publicité, mais également tout simplement pour améliorer la performance et la qualité d'un site. Google se défend en rétorquant que les données sont anonymes, que ses pratiques sont conformes à la loi, et que l'entreprise protège les données de ses utilisateurs. Google ne fait, en somme, rien à ces élèves qu'il ne fait pas au reste des utilisateurs qui utilisent les produits et services Google toute la journée.
Là où il y a une différence, selon l'EFF, c'est que les accords que Google passe avec les rectorats de l'enseignement public américain stipulent que les élèves n'ont pas le droit de se désengager. La plupart des produits Google proposent une option pour se désengager du suivi anonyme, et là Google imposerait que les élèves n'aient pas cette option. Et les parents ne sont pas consultés avant que leurs enfants utilisent ces logiciels.
En effet, les données des élèves qui utilisent ses ordinateurs et ses logiciels sont utilisés par la marque californienne. Tous les sites web récoltent des données d'usage. Ces dernières peuvent être utilisées pour cibler de la publicité, mais également tout simplement pour améliorer la performance et la qualité d'un site. Google se défend en rétorquant que les données sont anonymes, que ses pratiques sont conformes à la loi, et que l'entreprise protège les données de ses utilisateurs. Google ne fait, en somme, rien à ces élèves qu'il ne fait pas au reste des utilisateurs qui utilisent les produits et services Google toute la journée.
Là où il y a une différence, selon l'EFF, c'est que les accords que Google passe avec les rectorats de l'enseignement public américain stipulent que les élèves n'ont pas le droit de se désengager. La plupart des produits Google proposent une option pour se désengager du suivi anonyme, et là Google imposerait que les élèves n'aient pas cette option. Et les parents ne sont pas consultés avant que leurs enfants utilisent ces logiciels.