Un gouvernement qui soit à même de faire face à des maux comme la flambée des prix, la question de l’emploi et de l’habitat, l’énergie, les inondations ; toutes questions sur lesquelles une élection peut se gagner ou… se perdre. Et comme il veut coûte que coûte les gagner, il va falloir que des actes concrets allant dans le sens de la satisfaction de la demande sociale, et non plus les habituels arguments, soient posés et vite posés. D’où un gouvernement-commando donc dont les premiers à être exclus devraient être les ministres n’ayant aucune assise politique, ceux arrivés en dernier et ceux qui n’auraient pas toute sa confiance.
La confiance, parlons en, joue et va continuer de jouer un rôle important dans les décisions de Pabi. On l’a vu avec le cas Aminata Tall marginalisée au Palais bien avant son affectation au Ministère de la Fonction publique car exclue de tous les dossiers importants. Le Président traitait ces dossiers là avec ses hommes de confiance, au premier rang desquels, bien sûr, Karim Wade. Tout cela parce que, à tort ou à raison, l’avenir nous le dira, des esprits mal intentionnés ont attiré son attention sur les éventuelles accointances entre la Dame et Idy ou Macky. La confiance, toujours elle, sera le maître mot de la situation politique car, pour prendre exemple du directoire de campagne sur lequel beaucoup de procès sont faits au Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, c’est en réalité le Président Wade qui décide et ce n’est pas hasard que la plupart des «perdants» des élections locales, Pape Diop, Masseck ou Aminata entre autres soient exclus. Le Président entend donc s’appuyer sur une équipe politique resserrée pour aller aux élections et aussi sur une communication qu’il veut doper avec ceux du groupe Sopi mais aussi la cellule com de la VDN. On a d’ailleurs vu le «revenant» Hassan Bâ, ex gourou de Karim, qui avait disparu de la circulation depuis les élections locales (on l’a dit installé en Suisse) dans les allées du pouvoir et on peut s’interroger sur un éventuel retour… Une chose demeure certaine, c’est que toutes les forces vont être jetées dans la bataille pour 2012.
rewmi
La confiance, parlons en, joue et va continuer de jouer un rôle important dans les décisions de Pabi. On l’a vu avec le cas Aminata Tall marginalisée au Palais bien avant son affectation au Ministère de la Fonction publique car exclue de tous les dossiers importants. Le Président traitait ces dossiers là avec ses hommes de confiance, au premier rang desquels, bien sûr, Karim Wade. Tout cela parce que, à tort ou à raison, l’avenir nous le dira, des esprits mal intentionnés ont attiré son attention sur les éventuelles accointances entre la Dame et Idy ou Macky. La confiance, toujours elle, sera le maître mot de la situation politique car, pour prendre exemple du directoire de campagne sur lequel beaucoup de procès sont faits au Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, c’est en réalité le Président Wade qui décide et ce n’est pas hasard que la plupart des «perdants» des élections locales, Pape Diop, Masseck ou Aminata entre autres soient exclus. Le Président entend donc s’appuyer sur une équipe politique resserrée pour aller aux élections et aussi sur une communication qu’il veut doper avec ceux du groupe Sopi mais aussi la cellule com de la VDN. On a d’ailleurs vu le «revenant» Hassan Bâ, ex gourou de Karim, qui avait disparu de la circulation depuis les élections locales (on l’a dit installé en Suisse) dans les allées du pouvoir et on peut s’interroger sur un éventuel retour… Une chose demeure certaine, c’est que toutes les forces vont être jetées dans la bataille pour 2012.
rewmi