Le Président de la République a demandé au secrétaire général du gouvernement, Papa Ousmane Guèye, de retirer le projet de loi instituant le poste de vice-Premier ministre, selon le journal L’As, dans son édition du lundi 12 juillet. Citant une «source autorisée», notre confrère rapporte que «le contexte social» justifie le retrait du texte déjà transmis à l’Assemblée nationale pour adoption.
Analysant les raisons du retrait du projet de création du poste de vice-Premier ministre, L’As croit savoir qu’il avait été promis à Awa Guèye Kébé, l’ancienne ministre de la Femme, revenue au PDS à la faveur des retrouvailles entre son mentor, Idrissa Seck, leader de Rewmi, et Me Wade. N’ayant pas été consultés par le Président de la République de sa décision, comme pour le poste de vice-président, certains responsables du PDS, selon L’As, avaient «affirmer leur opposition».
D’autant que, souligne notre confrère, «la création de ce poste allait conduire à des dommages collatéraux du côté de la Primature, puisqu’il était retenu de céder certaines attributions du chef du gouvernement à son «adjointe». Ces informations ont été balayées d’un revers de main par la source de notre confrère, qui écarte l’idée que «les frustrations dans les rangs du PDS» (au pouvoir) sont à l’origine de l’annulation du projet d’érection du poste de Premier-ministre.
De toute façon avec le retrait du projet de loi, le Parlement (Assemblée nationale et Senat), convoqué ce mardi, ne sera plus en session pour ledit texte. Le Président de la République ayant signé, selon L’As, dimanche 11 juillet, le décret annulant la convocation des deux Chambres.
Youssouph Badji
Source Kanal150.com
Analysant les raisons du retrait du projet de création du poste de vice-Premier ministre, L’As croit savoir qu’il avait été promis à Awa Guèye Kébé, l’ancienne ministre de la Femme, revenue au PDS à la faveur des retrouvailles entre son mentor, Idrissa Seck, leader de Rewmi, et Me Wade. N’ayant pas été consultés par le Président de la République de sa décision, comme pour le poste de vice-président, certains responsables du PDS, selon L’As, avaient «affirmer leur opposition».
D’autant que, souligne notre confrère, «la création de ce poste allait conduire à des dommages collatéraux du côté de la Primature, puisqu’il était retenu de céder certaines attributions du chef du gouvernement à son «adjointe». Ces informations ont été balayées d’un revers de main par la source de notre confrère, qui écarte l’idée que «les frustrations dans les rangs du PDS» (au pouvoir) sont à l’origine de l’annulation du projet d’érection du poste de Premier-ministre.
De toute façon avec le retrait du projet de loi, le Parlement (Assemblée nationale et Senat), convoqué ce mardi, ne sera plus en session pour ledit texte. Le Président de la République ayant signé, selon L’As, dimanche 11 juillet, le décret annulant la convocation des deux Chambres.
Youssouph Badji
Source Kanal150.com