Mais, on se garde souvent de l’évoquer, la Politique et la Monarchie sont les deux leviers qui permettent d’accéder au Pouvoir qui confère les moyens de transformer la société.
Dans la Monarchie, qu’elle soit d’essence divine ou constitutionnelle, le principe de la souveraineté populaire ne se pose pas. Le peuple est sujet, malgré quelques avancées en termes de réformes et de libertés…
Dans la République, quelque soit le type de suffrage utilisé, c’est le peuple, seul souverain après DIEU, qui, directement ou indirectement, confie le Pouvoir qui est d’abord un sacerdoce. Et le principal moteur de la République, c’est l’Etat de droit dans le respect des droits et des libertés du Citoyen qui est un Homme libre.
La vraie République, c’est la Démocratie !
Malheureusement, pour accéder à ce Pouvoir, même dans les démocraties les mieux élaborées, les forces politiques s’affrontent par le biais de programmes et de projets dont le plus apprécié ou le plus séduisant va recueillir la majorité des suffrages.
Et, souvent, il faut le déplorer, ces programmes et projets ne sont qu’un assemblage de promesses mirifiques élaborées par de prétendus experts qui ne font aucun effort de prospectives basées sur la situation réelle du pays. ..Sans compter le néfaste achat des consciences…
Il s’en suit une grande désillusion…
Quand on aspire à conduire le Destin d’une Nation, on n’attend pas d’arriver aux affaires pour créer des programmes et des projets.
A l’avance, on doit s’atteler à une prospective fondée sur des données réelles. ..
Ce faisant, une fois aux affaires, on procède juste à des réajustements en rapport avec les capacités du pays, en ressources propres et en ressources additionnelles, pour entreprendre des actions visibles et profitables pour le peuple. Sinon, on risque d’être coincé dans la poursuite des actions de l’ancien système dont on se prévaut sans prévenir que c’est la continuité de l’Etat.
La gestion d’un Etat requiert une parfaite connaissance des procédures et une grande vision, une Ambition, non pour soi mais pour le Peuple d’abord…
Il faudra bien que le jour arrive où, à travers le Monde, un leader politique, comme Winston Churchill devant la Chambre des Communes en 1940, ait le courage de dire au peuple ou à ses représentants :
« Je n’ai rien à vous offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur. »
Il faudra bien qu’un jour arrive où, à travers le Monde, on ne puisse plus penser et dire comme Louis Aragon dans les beaux quartiers :
« Il s’agit de savoir comment on gouvernera. Depuis toujours, il n’y a que deux méthodes : la Force et la Ruse. Pour l’instant, c’est la bagarre entre les méthodes de Force et les méthodes de ruse. »
Et rien ne change ! Sinon s’empirent la pauvreté des peuples et le pillage des prédateurs.
Pour le peuple du Sénégal Debout, dans l’exigence citoyenne d’une bonne gouvernance et d’un réel développement durable, les temps de la Force et de la Ruse sont à jamais révolus.
Et de manière pacifique mais déterminé, il aspire à un système où :
« Gouverner est aussi un devoir de Vérité…
Amadou Coumbatine DIOP
Citoyen du Sénégal
Dans la Monarchie, qu’elle soit d’essence divine ou constitutionnelle, le principe de la souveraineté populaire ne se pose pas. Le peuple est sujet, malgré quelques avancées en termes de réformes et de libertés…
Dans la République, quelque soit le type de suffrage utilisé, c’est le peuple, seul souverain après DIEU, qui, directement ou indirectement, confie le Pouvoir qui est d’abord un sacerdoce. Et le principal moteur de la République, c’est l’Etat de droit dans le respect des droits et des libertés du Citoyen qui est un Homme libre.
La vraie République, c’est la Démocratie !
Malheureusement, pour accéder à ce Pouvoir, même dans les démocraties les mieux élaborées, les forces politiques s’affrontent par le biais de programmes et de projets dont le plus apprécié ou le plus séduisant va recueillir la majorité des suffrages.
Et, souvent, il faut le déplorer, ces programmes et projets ne sont qu’un assemblage de promesses mirifiques élaborées par de prétendus experts qui ne font aucun effort de prospectives basées sur la situation réelle du pays. ..Sans compter le néfaste achat des consciences…
Il s’en suit une grande désillusion…
Quand on aspire à conduire le Destin d’une Nation, on n’attend pas d’arriver aux affaires pour créer des programmes et des projets.
A l’avance, on doit s’atteler à une prospective fondée sur des données réelles. ..
Ce faisant, une fois aux affaires, on procède juste à des réajustements en rapport avec les capacités du pays, en ressources propres et en ressources additionnelles, pour entreprendre des actions visibles et profitables pour le peuple. Sinon, on risque d’être coincé dans la poursuite des actions de l’ancien système dont on se prévaut sans prévenir que c’est la continuité de l’Etat.
La gestion d’un Etat requiert une parfaite connaissance des procédures et une grande vision, une Ambition, non pour soi mais pour le Peuple d’abord…
Il faudra bien que le jour arrive où, à travers le Monde, un leader politique, comme Winston Churchill devant la Chambre des Communes en 1940, ait le courage de dire au peuple ou à ses représentants :
« Je n’ai rien à vous offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur. »
Il faudra bien qu’un jour arrive où, à travers le Monde, on ne puisse plus penser et dire comme Louis Aragon dans les beaux quartiers :
« Il s’agit de savoir comment on gouvernera. Depuis toujours, il n’y a que deux méthodes : la Force et la Ruse. Pour l’instant, c’est la bagarre entre les méthodes de Force et les méthodes de ruse. »
Et rien ne change ! Sinon s’empirent la pauvreté des peuples et le pillage des prédateurs.
Pour le peuple du Sénégal Debout, dans l’exigence citoyenne d’une bonne gouvernance et d’un réel développement durable, les temps de la Force et de la Ruse sont à jamais révolus.
Et de manière pacifique mais déterminé, il aspire à un système où :
« Gouverner est aussi un devoir de Vérité…
Amadou Coumbatine DIOP
Citoyen du Sénégal