Notre source se voulant plus précise, indique qu’ils ont été transportés dans les prisons de Fatick et de Gossas. Ces grévistes de la faim, nous dit-on, étaient au nombre de 10.
Par stratégie ou pour les intimider, les uns ont été ramenés en cellule (d’isolement ?) tandis que d’autres ont été en travaux forcés, suscitant des craintes.
Car en cette période de pandémie, certains redoutent une transmission communautaire du virus de la COVID-19. Mais pour ce lanceur d’alerte, tout cela, c’est pour casser l’engouement suscité par la grève réclamant de meilleures conditions.
Car les six d'entre eux parmi les plus déterminés, qui ne demandent qu’une nourriture décente et aussi de pouvoir jouir des biens que les parents et proches leur apportent en soutien, sont les plus ciblés.
Par stratégie ou pour les intimider, les uns ont été ramenés en cellule (d’isolement ?) tandis que d’autres ont été en travaux forcés, suscitant des craintes.
Car en cette période de pandémie, certains redoutent une transmission communautaire du virus de la COVID-19. Mais pour ce lanceur d’alerte, tout cela, c’est pour casser l’engouement suscité par la grève réclamant de meilleures conditions.
Car les six d'entre eux parmi les plus déterminés, qui ne demandent qu’une nourriture décente et aussi de pouvoir jouir des biens que les parents et proches leur apportent en soutien, sont les plus ciblés.