Le président de l’antenne régionale de Thiès de « SOS Consommateurs », El Hadji Ciré Baly Diallo, a tiré la sonnette d’alarme sur « l’impact négatif de la grève dans les Collectivités territoriales, sur l’accès au service public ». « Nous nous rendons régulièrement au centre civil principal pour constater, de visu, l’impact très négatif de la grève récurrente, persistante, à la limite, aveugle, des travailleurs des collectivités locales », regrette M. Diallo, informe "Le Témoin".
Il a mentionné que « le constat est là, très amer, alarmant pour les populations, les élèves en particulier, surtout en cette période pré-examen, concours, entre autres. Des apprenants innocents qui, si on ne prend des mesures palliatives, risquent d’avoir des dossiers incomplets, d’être donc pénalisés à cause d’une bataille qui n’est pas la leur ».
Mieux, informe le président de l’antenne régionale de Thiès de « SOS Consommateurs », « même des hommes de tenue sont obligés de rebrousser chemin, insatisfaits. Des ayants-droit se présentent à 5h du matin pour s’inscrire sur une liste de 50 personnes, mais, même avec ce semblant de service minimum, les problèmes demeurent ». Il pense qu’« il faudrait donc que les travailleurs sociaux sachent raison garder, qu’ils cessent de prendre en otages ces innocents ayants-droit, en faisant un ultime sacrifice patriotique, pour leurs propres intérêts, d’abord, pour l’intérêt du pays, des utilisateurs de service, les élèves, en particulier». Mais également, indique M. Diallo, « il faudrait que les autorités compétentes prennent toutes leurs responsabilités pour y mettre un terme ».
En effet, estime El Hadj Ciré Baly Diallo, « tout travailleur a droit d’aller en grève, mais quand ça perdure, sans même attendre que les nouvelles autorités puissent étudier la situation, apprécier et arbitrer, c’est tout sauf une grève ». Il propose que « tous les candidats qui n’ont pu avoir leurs pièces d’état-civil et autres documents, soient admis à la session d’octobre au cas où, dans ce service minimum, ils restent prioritaires ».
Il a mentionné que « le constat est là, très amer, alarmant pour les populations, les élèves en particulier, surtout en cette période pré-examen, concours, entre autres. Des apprenants innocents qui, si on ne prend des mesures palliatives, risquent d’avoir des dossiers incomplets, d’être donc pénalisés à cause d’une bataille qui n’est pas la leur ».
Mieux, informe le président de l’antenne régionale de Thiès de « SOS Consommateurs », « même des hommes de tenue sont obligés de rebrousser chemin, insatisfaits. Des ayants-droit se présentent à 5h du matin pour s’inscrire sur une liste de 50 personnes, mais, même avec ce semblant de service minimum, les problèmes demeurent ». Il pense qu’« il faudrait donc que les travailleurs sociaux sachent raison garder, qu’ils cessent de prendre en otages ces innocents ayants-droit, en faisant un ultime sacrifice patriotique, pour leurs propres intérêts, d’abord, pour l’intérêt du pays, des utilisateurs de service, les élèves, en particulier». Mais également, indique M. Diallo, « il faudrait que les autorités compétentes prennent toutes leurs responsabilités pour y mettre un terme ».
En effet, estime El Hadj Ciré Baly Diallo, « tout travailleur a droit d’aller en grève, mais quand ça perdure, sans même attendre que les nouvelles autorités puissent étudier la situation, apprécier et arbitrer, c’est tout sauf une grève ». Il propose que « tous les candidats qui n’ont pu avoir leurs pièces d’état-civil et autres documents, soient admis à la session d’octobre au cas où, dans ce service minimum, ils restent prioritaires ».