Le Cusems juge « illégitimes et illégales » les ponctuations sur les salaires des enseignants et considère cet acte comme « un crime ». Il exige la restitution des sommes ponctuées. Par conséquent, le Cusems demande la démission du ministre Kalidou Diallo. « Kalidou Diallo est disqualifié. Il doit démissionner ou être démis de ses fonctions », réclame Abdoulaye Ndoye, porte-parole du Cusems. M. Ndoye demande à leur ministre de tutelle, Kalidou Diallo de présenter des excuses aux enseignants, aux élèves et aux parents d’élèves. En outre, le Cusems exige la reprise des négociations avec le gouvernement et l’application des accords conclus l’année dernière.
Quant au Cadre unitaire des Syndicats de l’enseignement (Cuse), il sonne la mobilisation pour la grève d’avertissement du 03 mars prochain. Mamadou Diouf, membre du Cuse, demande à l’Etat d’appliquer les accords signés le 23 septembre 2010 et le paiement à temps des salaires des enseignants.
Le Cusems et le Cuse sont devancés par le Saes dans le cycle des perturbations. Ce syndicat du Supérieur vient de boucler 48 de grève totale. Il juge le bilan satisfaisant. Cependant, le Saes persiste dans sa « dynamique de paralyser le système universitaire ». Ce syndicat note que leur ministre de tutelle, celui de l’Enseignement supérieur, « a atteint ses limites objectives et est dans une position de distance par rapport » leur mouvement.
Ces grèves entamées dans le second trimestre de l’année scolaire et académique risquent de paralyser l’éducation nationale vers les prochains mois.
Thiedo
Quant au Cadre unitaire des Syndicats de l’enseignement (Cuse), il sonne la mobilisation pour la grève d’avertissement du 03 mars prochain. Mamadou Diouf, membre du Cuse, demande à l’Etat d’appliquer les accords signés le 23 septembre 2010 et le paiement à temps des salaires des enseignants.
Le Cusems et le Cuse sont devancés par le Saes dans le cycle des perturbations. Ce syndicat du Supérieur vient de boucler 48 de grève totale. Il juge le bilan satisfaisant. Cependant, le Saes persiste dans sa « dynamique de paralyser le système universitaire ». Ce syndicat note que leur ministre de tutelle, celui de l’Enseignement supérieur, « a atteint ses limites objectives et est dans une position de distance par rapport » leur mouvement.
Ces grèves entamées dans le second trimestre de l’année scolaire et académique risquent de paralyser l’éducation nationale vers les prochains mois.
Thiedo