A quelques heures de la rupture du jeûne, un constat amer est largement partagé: les rassemblements impressionnants devant les boulangeries et fabriques de pain comme les « Brioche Dorée ». Au-delà de la grogne des consommateurs, un risque réel de contamination massive du COVID-19 se fait jour, face aux mesures prises pour lutter contre ce fléau.
Pour casser la chaîne peu rassurante allant de de la fabrique du pain à son arrivée aux lieux de vente, décision avait été prise d’interdire aux boutiquiers, qui sont souvent trois à quatre dans un même quartier, la vente du pain.
Avec le port du masque obligatoire d’abord pour le vendeur en gants, ensuite pour les consommateurs, une solution semblait avoir été trouvée...
Pourtant hier, à quelques heures de la rupture du jeûne, une foule impressionnante pouvait être contastée partout dans la banlieue fortement touchée par la pandémie, devant les boulangeries et autres lieux de vente comme les ‘’Brioche Dorée’’.
Passer plus de deux heures à faire le pied de grue pour pouvoir acheter quelques miches de pain ( denrée de première nécessité s'il en est en cette période de Ramadan), en a fait râler plus d’un parmi les acheteurs.
Mais au-delà de cette colère partagée par tous, l’autre facteur à haut risque est ce rassemblement massif et impressionnant, même si majoritairement, pour ne pas dire tous, ils portaient des masques. Car même le respect recommandé de la distance d’un métre, était impossible.
A cela s’ajoute une déception probable, car a expliqué un consommateur, bien avant cette journée, il a eu la désagréable surprise de s’entendre dire : « Mbourou yi diékh na (le stock de pain est épuisé) !». L’explication est que les boutiquiers des quartiers avaient d’autres boulangeries qui les ravitaillent.
C’est pourquoi la conviction partagée est que l’Etat doit revenir cette mesure, au besoin même exiger des boutiquiers (qui avec la disparition des kiosques à pain étaient devenus les uniques revendeurs), des mesures strictes d’hygiène, pour éviter les rassemblements à risque.
Avec la vente en boutique, le port des gants et en plus de celui du masque déjà imposé, accompagné de sanctions en cas de contrôle ou constat négatif des services d’hygiène à l'encontre des boutiquiers, telle semble être la solution la plus largement citée pour pallier cette complainte des usagers.
Pour casser la chaîne peu rassurante allant de de la fabrique du pain à son arrivée aux lieux de vente, décision avait été prise d’interdire aux boutiquiers, qui sont souvent trois à quatre dans un même quartier, la vente du pain.
Avec le port du masque obligatoire d’abord pour le vendeur en gants, ensuite pour les consommateurs, une solution semblait avoir été trouvée...
Pourtant hier, à quelques heures de la rupture du jeûne, une foule impressionnante pouvait être contastée partout dans la banlieue fortement touchée par la pandémie, devant les boulangeries et autres lieux de vente comme les ‘’Brioche Dorée’’.
Passer plus de deux heures à faire le pied de grue pour pouvoir acheter quelques miches de pain ( denrée de première nécessité s'il en est en cette période de Ramadan), en a fait râler plus d’un parmi les acheteurs.
Mais au-delà de cette colère partagée par tous, l’autre facteur à haut risque est ce rassemblement massif et impressionnant, même si majoritairement, pour ne pas dire tous, ils portaient des masques. Car même le respect recommandé de la distance d’un métre, était impossible.
A cela s’ajoute une déception probable, car a expliqué un consommateur, bien avant cette journée, il a eu la désagréable surprise de s’entendre dire : « Mbourou yi diékh na (le stock de pain est épuisé) !». L’explication est que les boutiquiers des quartiers avaient d’autres boulangeries qui les ravitaillent.
C’est pourquoi la conviction partagée est que l’Etat doit revenir cette mesure, au besoin même exiger des boutiquiers (qui avec la disparition des kiosques à pain étaient devenus les uniques revendeurs), des mesures strictes d’hygiène, pour éviter les rassemblements à risque.
Avec la vente en boutique, le port des gants et en plus de celui du masque déjà imposé, accompagné de sanctions en cas de contrôle ou constat négatif des services d’hygiène à l'encontre des boutiquiers, telle semble être la solution la plus largement citée pour pallier cette complainte des usagers.