Voilà une information à prendre avec la plus grande prudence ! Alors que Pep Guardiola avait annoncé il y a quelque semaines vouloir prendre une année sabbatique après quatre ans de moisson de titres avec le FC Barcelone, son nom revient du côté de la sélection de Russie. La Fédération aurait même soumis un pré-contrat au technicien espagnol, que ce dernier aurait paraphé révèle Sport-Express. De là à assurer que l'homme aux 14 titres sur 19 possibles avec le Barça devienne le nouveau boss de la Russie, il y a un pas. Mais la probabilité devient de plus en plus grande et ce à plus... d'un titre. Explications.
Guardiola est actuellement à Moscou
Depuis l'annonce de sa parenthèse professionnelle, Pep Guardiola fait l'objet de tous les fantasmes. Annoncé un temps du côté du Bayern Munich, de l'Inter Milan, de Tottenham ou encore de Flamengo, le coach catalan n'a jamais donné suite, bien déterminé à rejoindre sa petite famille du côté de Big Apple. Et pourtant. Selon le site internet du journal russe Sport-Express, Guardiola devrait devenir, dans les heures à venir, le prochain sélectionneur de la Russie, en lieu et place de Dick Advocaat.
L'ancien joueur de la Roja , âgé de 41 ans, aurait même signé un pré-contrat avec la fédération russe et serait actuellement à Moscou pour négocier les ultimes détails de son contrat avant de s'engager définitivement. Une information qui peut surprendre mais qui s'inscrit pleinement dans la volonté des instances russes de porter son football à hauteur des meilleures nations européennes.
Guardiola, Bilic, Hiddink et les autres...
Depuis quelques années maintenant, le football russe renait de ses cendres soviétiques. Cette mutation est passée par des succès, notamment du Zenit Saint-Pétersbourg, vainqueur de la Coupe de l'UEFA en 2008 avec, à sa tête, le dernier sélectionneur en date de la Russie, Dick Advocaat. Le Néerlandais a laissé ensuite sa place en 2009 à Luciano Spalletti, l'ancien de la Roma, qui a enchaîné les titres nationaux. Puis sont venus les exemples de la richissime Makhachkala de Samuel Eto'o, qui s'est achetée les services de l'expérimenté Guus Hiddink ou encore, plus récemment, du Lokomotiv Moscou, qui a confié son équipe au prometteur technicien croate, Slaven Bilic.
Des grands noms européens qui font progresser les clubs russes à une vitesse vertigineuse. A l'échelle internationale, la Grande Russie retrouve progressivement ses couleurs, comme lors du dernier Championnat d'Europe des Nations en Ukraine et en Pologne, malgré une élimination précoce en phase de poules. Mais à l'image des Dzagoev (22 ans) et Kokorin (21 ans), la relève est assurée.
La Coupe du Monde 2018 en ligne de mire
Le challenge à relever avec la sélection russe est colossal. Absente des deux derniers Mondiaux (2006 et 2010), la Russie a toutes ses chances de valider son billet pour la Coupe du Monde 2014 au Brésil. Lors des éliminatoires, la Russie devra se frotter au Portugal, à Israël, l'Irlande du Nord, l'Azerbaïdjan et le Luxembourg. Jouable. Au-delà de cette mission à court terme, la Fédération russe a pour ambition de présenter une équipe ultra-compétitive pour le Mondial 2018 qu'elle organisera. Pour mener à bien ce projet, cette dernière cherche un nouvel homme fort après le départ d'Advocaat, capable de façonner une équipe avec des petites pépites en devenir. Un objectif sur le temps qui ne serait pas pour déplaire à Pep Guardiola? La réponse de l'intéressé est attendue.
Source:topmercato.com
Guardiola est actuellement à Moscou
Depuis l'annonce de sa parenthèse professionnelle, Pep Guardiola fait l'objet de tous les fantasmes. Annoncé un temps du côté du Bayern Munich, de l'Inter Milan, de Tottenham ou encore de Flamengo, le coach catalan n'a jamais donné suite, bien déterminé à rejoindre sa petite famille du côté de Big Apple. Et pourtant. Selon le site internet du journal russe Sport-Express, Guardiola devrait devenir, dans les heures à venir, le prochain sélectionneur de la Russie, en lieu et place de Dick Advocaat.
L'ancien joueur de la Roja , âgé de 41 ans, aurait même signé un pré-contrat avec la fédération russe et serait actuellement à Moscou pour négocier les ultimes détails de son contrat avant de s'engager définitivement. Une information qui peut surprendre mais qui s'inscrit pleinement dans la volonté des instances russes de porter son football à hauteur des meilleures nations européennes.
Guardiola, Bilic, Hiddink et les autres...
Depuis quelques années maintenant, le football russe renait de ses cendres soviétiques. Cette mutation est passée par des succès, notamment du Zenit Saint-Pétersbourg, vainqueur de la Coupe de l'UEFA en 2008 avec, à sa tête, le dernier sélectionneur en date de la Russie, Dick Advocaat. Le Néerlandais a laissé ensuite sa place en 2009 à Luciano Spalletti, l'ancien de la Roma, qui a enchaîné les titres nationaux. Puis sont venus les exemples de la richissime Makhachkala de Samuel Eto'o, qui s'est achetée les services de l'expérimenté Guus Hiddink ou encore, plus récemment, du Lokomotiv Moscou, qui a confié son équipe au prometteur technicien croate, Slaven Bilic.
Des grands noms européens qui font progresser les clubs russes à une vitesse vertigineuse. A l'échelle internationale, la Grande Russie retrouve progressivement ses couleurs, comme lors du dernier Championnat d'Europe des Nations en Ukraine et en Pologne, malgré une élimination précoce en phase de poules. Mais à l'image des Dzagoev (22 ans) et Kokorin (21 ans), la relève est assurée.
La Coupe du Monde 2018 en ligne de mire
Le challenge à relever avec la sélection russe est colossal. Absente des deux derniers Mondiaux (2006 et 2010), la Russie a toutes ses chances de valider son billet pour la Coupe du Monde 2014 au Brésil. Lors des éliminatoires, la Russie devra se frotter au Portugal, à Israël, l'Irlande du Nord, l'Azerbaïdjan et le Luxembourg. Jouable. Au-delà de cette mission à court terme, la Fédération russe a pour ambition de présenter une équipe ultra-compétitive pour le Mondial 2018 qu'elle organisera. Pour mener à bien ce projet, cette dernière cherche un nouvel homme fort après le départ d'Advocaat, capable de façonner une équipe avec des petites pépites en devenir. Un objectif sur le temps qui ne serait pas pour déplaire à Pep Guardiola? La réponse de l'intéressé est attendue.
Source:topmercato.com