L’Association reproche injustement, entre autres, à la société JAPPO, la création d’une société GUEDIAWAYE FC S.A. pour gérer le club alors que dans le protocole signé par son Président, Ablaye Sall, elle a « transféré la gestion du GFC PRO ainsi que l’ensemble des droits d’exploitation du GFC PRO à la société JAPPO », et dans ce même protocole, « l’Association garantit qu’elle détient tous les droits lui permettant de transférer la gestion du GFC PRO à la société JAPPO, notamment les droits de propriété intellectuelle ».
C’est cette même association qui avait demandé, à l’ouverture du capital de la société Guédiawaye FC.SA, que le club lui accorde un délai supplémentaire pour prendre les 5% prévus dans le protocole qui aujourd’hui, accuse, dans sa lettre, JAPPO SA d’utiliser « ostensiblement le sigle GFC, son patrimoine… ».
Toujours dans sa lettre, l’association se plaint également de ne plus recevoir sa subvention annuelle, subvention dont la direction du club a suspendu le paiement et l'a notifié à l’Association depuis 2015, en attendant de régler le problème de la souscription des 5% du capital (cf. lettre du 12 novembre 2014). L’Association n’a depuis, pas contesté formellement la mesure arrêtée à l’époque.
Cherchant par tous les moyens à porter grief à la gestion de l’actuelle équipe dirigeante, l’association va jusqu’à reprocher au club d’occuper « ses » locaux au stade Amadou Barry. Ce qui est ridicule car le stade appartient à la collectivité locale et la direction du club avait demandé à l’association, de convoquer une réunion avec la direction du stade pour qu’elle dise officiellement au club de quitter les locaux du stade. Cette réunion n’a jamais été convoquée.
Mais l’accusation la plus grave est celle de « falsification du protocole dans son article 7 et l’imitation du paraphe du Président de l’Association ». Le Président de l’Association avait été mis au courant de la perte par le notaire, des originaux du protocole et avait été invité à signer un nouveau protocole afin qu’il soit déposé chez le notaire pour en faire un acte notarié. Il reconnait lui-même avoir signé ce protocole mais à la surprise générale, affirme que les paraphes ne sont pas de lui.
Comment peut-il signer un document et ne pas le parapher ? Concernant l’article 7 dont il fait allusion sur la « tacite reconduction », la question a été vidée lors de la réunion d’évaluation entre les deux structures en août et nous lui rappelons la définition simple du terme « Clause d’un contrat qui indique que l’accord est reconductible automatiquement d’une période à une autre si aucune des parties ne se manifeste». Aujourd’hui, le problème n’est pas l’exigence de JAPPO de continuer mais plutôt à qui et comment, ce club sera repris.
Compte tenu des accusations graves et diffamatoires, ce n’est plus le club mais la société JAPPO et son Président qui ont décidé de porter plainte, aujourd’hui, contre Abdoulaye Sall, Président de l’Association et signataire de la lettre, pour diffamation et diffusion de fausses informations. Il a reconnu avoir signé le 2e protocole en question quand le premier a été perdu par le notaire et il devra maintenant démontrer qu’il ne l’a pas paraphé.
Le club est solidaire de cette démarche et n’acceptera nullement que les noms de personnes qui ont tout donné pendant 6 ans, pour mettre le club sur le chemin de la performance soient traînés dans la boue dans l’unique but d’atteindre des intérêts crypto-personnels et flatter l’égo de personnes aux desseins inavoués et hypothéquant l’avenir du Guédiawaye FC.
Guédiawaye FC portera également plainte contre le Président de l’Association GFC, Abdoulaye Sall, pour non-respect des termes du protocole et rupture abusive du protocole.
La direction du Club
C’est cette même association qui avait demandé, à l’ouverture du capital de la société Guédiawaye FC.SA, que le club lui accorde un délai supplémentaire pour prendre les 5% prévus dans le protocole qui aujourd’hui, accuse, dans sa lettre, JAPPO SA d’utiliser « ostensiblement le sigle GFC, son patrimoine… ».
Toujours dans sa lettre, l’association se plaint également de ne plus recevoir sa subvention annuelle, subvention dont la direction du club a suspendu le paiement et l'a notifié à l’Association depuis 2015, en attendant de régler le problème de la souscription des 5% du capital (cf. lettre du 12 novembre 2014). L’Association n’a depuis, pas contesté formellement la mesure arrêtée à l’époque.
Cherchant par tous les moyens à porter grief à la gestion de l’actuelle équipe dirigeante, l’association va jusqu’à reprocher au club d’occuper « ses » locaux au stade Amadou Barry. Ce qui est ridicule car le stade appartient à la collectivité locale et la direction du club avait demandé à l’association, de convoquer une réunion avec la direction du stade pour qu’elle dise officiellement au club de quitter les locaux du stade. Cette réunion n’a jamais été convoquée.
Mais l’accusation la plus grave est celle de « falsification du protocole dans son article 7 et l’imitation du paraphe du Président de l’Association ». Le Président de l’Association avait été mis au courant de la perte par le notaire, des originaux du protocole et avait été invité à signer un nouveau protocole afin qu’il soit déposé chez le notaire pour en faire un acte notarié. Il reconnait lui-même avoir signé ce protocole mais à la surprise générale, affirme que les paraphes ne sont pas de lui.
Comment peut-il signer un document et ne pas le parapher ? Concernant l’article 7 dont il fait allusion sur la « tacite reconduction », la question a été vidée lors de la réunion d’évaluation entre les deux structures en août et nous lui rappelons la définition simple du terme « Clause d’un contrat qui indique que l’accord est reconductible automatiquement d’une période à une autre si aucune des parties ne se manifeste». Aujourd’hui, le problème n’est pas l’exigence de JAPPO de continuer mais plutôt à qui et comment, ce club sera repris.
Compte tenu des accusations graves et diffamatoires, ce n’est plus le club mais la société JAPPO et son Président qui ont décidé de porter plainte, aujourd’hui, contre Abdoulaye Sall, Président de l’Association et signataire de la lettre, pour diffamation et diffusion de fausses informations. Il a reconnu avoir signé le 2e protocole en question quand le premier a été perdu par le notaire et il devra maintenant démontrer qu’il ne l’a pas paraphé.
Le club est solidaire de cette démarche et n’acceptera nullement que les noms de personnes qui ont tout donné pendant 6 ans, pour mettre le club sur le chemin de la performance soient traînés dans la boue dans l’unique but d’atteindre des intérêts crypto-personnels et flatter l’égo de personnes aux desseins inavoués et hypothéquant l’avenir du Guédiawaye FC.
Guédiawaye FC portera également plainte contre le Président de l’Association GFC, Abdoulaye Sall, pour non-respect des termes du protocole et rupture abusive du protocole.
La direction du Club