C’est une frontière de 1 300 km, une ligne invisible à travers d’épaisses forêts, glaciales et enneigées la plupart de l’année, qui sépare la Finlande de la Russie. Impossible, et probablement inutile donc, d’ériger un mur sur la totalité de la frontière. Seuls 260 km vont être sécurisés : des tronçons jugés trop poreux par les autorités finlandaises, qui vont remplacer les actuelles barrières de bois par des grilles mieux surveillées, et moins facilement franchissables.
Travaux coûteux
Cette proposition faite par les garde-frontières, la Première ministre Sanna Marin y a répondu favorablement ce lundi 3 octobre, mais a déclaré vouloir un large consensus de la part du Parlement, car ces travaux, coûteux, pourraient durer plusieurs années. L’enjeu est de réduire le risque sécuritaire d’un exode massif ou de méthodes de guerre hybrides en provenance de la Russie.
« L’Europe est en guerre. La situation ne pourrait être plus tendue »
En réponse à certains experts en relations internationales qui estiment que cette décision pourrait accroître les tensions entre la Russie et la Finlande, la dirigeante finlandaise a justifié : « l’Europe est en guerre. La situation ne pourrait être plus tendue. »
Travaux coûteux
Cette proposition faite par les garde-frontières, la Première ministre Sanna Marin y a répondu favorablement ce lundi 3 octobre, mais a déclaré vouloir un large consensus de la part du Parlement, car ces travaux, coûteux, pourraient durer plusieurs années. L’enjeu est de réduire le risque sécuritaire d’un exode massif ou de méthodes de guerre hybrides en provenance de la Russie.
« L’Europe est en guerre. La situation ne pourrait être plus tendue »
En réponse à certains experts en relations internationales qui estiment que cette décision pourrait accroître les tensions entre la Russie et la Finlande, la dirigeante finlandaise a justifié : « l’Europe est en guerre. La situation ne pourrait être plus tendue. »