Fort de ce soutien et de celui des syndicats, partis politiques et de la société civile, le régime guinéen compte défendre son action au sommet de la CEDEAO de vendredi, à Abuja au Nigeria. « Je pense qu’il y avait un besoin profond de changement dans ce pays qui s’est manifesté depuis 2006 et qui s’est matérialisé par un soulèvement populaire sans précédent en Afrique de l’Ouest », explique Bakari Fofana vice-président du Conseil national de la société civile de Guinée.
Cet article se base sur ou est repris de VOA News version française qui se place dans le domaine public
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