"La distance entre nous a fini par installer un climat délétère et je n'ai pas pu supporter tous ces voyages. Elle bougeait beaucoup à cause de ses concerts, mais également parce qu'elle était productrice de téléfilms", avoue Guissé Pène qui en est à son second divorce. Le sien avec Ndèye Cham a été prononcé, il y a près d'un mois.
Le coeur en "peine" la gorge nouée par des sentiments de regrets, il se laisse aller au bond souvenir de celle qui sera désormais une grande amie. "Nous nous sommes quittés en bons termes, même si je regrette beaucoup de choses. J'ai partagé tellement de choses avec elle. C'est une femme que je respecte énormément, une épouse modèle, fidèle qui assumait pleinement son rôle. Je ne dirais pas que je suis de nature jaloux, mais il m'était difficile de faire face à ses absences", se lamente-t-il dans L'Observateur.
Même si leur union a volé en éclats après 4 belles années, leur collaboration, elle, survit toujours aux affres de la vie. Guissé Pène assure qu'ils vont continuer à travailler ensemble. A savoir si leur amour renaîtra un jour de ses cendres, l'homme fort de l'Association des Métiers de musique du Sénégal (AMS), préfère être très prudent:"je ne dirais pas fontaine, je ne boirais plus de son eau, mais pour le moment, c'est bien fini".
Le coeur en "peine" la gorge nouée par des sentiments de regrets, il se laisse aller au bond souvenir de celle qui sera désormais une grande amie. "Nous nous sommes quittés en bons termes, même si je regrette beaucoup de choses. J'ai partagé tellement de choses avec elle. C'est une femme que je respecte énormément, une épouse modèle, fidèle qui assumait pleinement son rôle. Je ne dirais pas que je suis de nature jaloux, mais il m'était difficile de faire face à ses absences", se lamente-t-il dans L'Observateur.
Même si leur union a volé en éclats après 4 belles années, leur collaboration, elle, survit toujours aux affres de la vie. Guissé Pène assure qu'ils vont continuer à travailler ensemble. A savoir si leur amour renaîtra un jour de ses cendres, l'homme fort de l'Association des Métiers de musique du Sénégal (AMS), préfère être très prudent:"je ne dirais pas fontaine, je ne boirais plus de son eau, mais pour le moment, c'est bien fini".