A la station mobile de la cité Fadia, un pompiste confirme que les hausses sont actuellement appliquées. Le litre du super passe de 655 Fcfa à 682 Fcfa, le gasoil quant à elle passe de 519 Fcfa à 548 Fcfa. « Cette augmentation des prix n’a toutefois pas affecté nos ventes », confie le pompiste.
A la gare routière de Petersen en plein centre ville, cette même tendance auprès du tenant des « car rapide ». Mouhamed Faye, chauffeur de son état, est formel : « nous n’avons pas le choix et nous sommes obligés d’acheter le carburant », se résigne-t-il. Cette nouvelle donne le contraint désormais à casquer 17 500 F Cfa soit 2500 F Cfa sur le prix du gasoil qui était de 15.000 FCfa. Alors au même moment, les tarifs du transport sont restés inchangés.
Ce sentiment d’inquiétude reste tout aussi perceptible chez les usagers. Ils sont en effet nombreux à redouter une augmentation des prix du transports qui n’est souvent pas proportionnelle à cette hausse généralisée du prix à la pompe. Omar Guèye, un passager rencontré à la gare routière de Petersen s’insurge lui contre toute hausse surtout si l’on sait que lors de la baisse survenue récemment sur le carburant les usagers n’ont rien senti « Les tarifs du transport ne doivent pas changer.
Une nouvelle hausse ne doit pas entraîné un réajustement des tarifs », clame-t-il. A l’intérieur d’un véhicule stationné à Petersen, une dame du nom de kiné, se dit être plutôt préoccupé par les prix du gaz et de l’électricité. « Je prie pour que le gouvernement fasse le maximum pour les Sénégalais et qu’ils soient à l’abri des problèmes dus au manque de gaz ou d’électricité ».
Très remonté contre l’Etat, Modou Mboup le chargé des revendications de l’Aftu soutient que les transporteurs sont laissés en rade par les gouvernants. De son point de vu, les transporteurs sont aujourd’hui désarmés pour apporter des solutions à cette situation que vit les transporteurs. Ce, du fait autorité qui ne leur prêtent pas une oreille attentive à leurs doléances. Cela, en dépit des nombreuses demandes d’audiences déposées auprès des autorités compétentes. « Il n’y a rien à espérer des autorités », se désole t-il.
(Stagiaire)
A la gare routière de Petersen en plein centre ville, cette même tendance auprès du tenant des « car rapide ». Mouhamed Faye, chauffeur de son état, est formel : « nous n’avons pas le choix et nous sommes obligés d’acheter le carburant », se résigne-t-il. Cette nouvelle donne le contraint désormais à casquer 17 500 F Cfa soit 2500 F Cfa sur le prix du gasoil qui était de 15.000 FCfa. Alors au même moment, les tarifs du transport sont restés inchangés.
Ce sentiment d’inquiétude reste tout aussi perceptible chez les usagers. Ils sont en effet nombreux à redouter une augmentation des prix du transports qui n’est souvent pas proportionnelle à cette hausse généralisée du prix à la pompe. Omar Guèye, un passager rencontré à la gare routière de Petersen s’insurge lui contre toute hausse surtout si l’on sait que lors de la baisse survenue récemment sur le carburant les usagers n’ont rien senti « Les tarifs du transport ne doivent pas changer.
Une nouvelle hausse ne doit pas entraîné un réajustement des tarifs », clame-t-il. A l’intérieur d’un véhicule stationné à Petersen, une dame du nom de kiné, se dit être plutôt préoccupé par les prix du gaz et de l’électricité. « Je prie pour que le gouvernement fasse le maximum pour les Sénégalais et qu’ils soient à l’abri des problèmes dus au manque de gaz ou d’électricité ».
Très remonté contre l’Etat, Modou Mboup le chargé des revendications de l’Aftu soutient que les transporteurs sont laissés en rade par les gouvernants. De son point de vu, les transporteurs sont aujourd’hui désarmés pour apporter des solutions à cette situation que vit les transporteurs. Ce, du fait autorité qui ne leur prêtent pas une oreille attentive à leurs doléances. Cela, en dépit des nombreuses demandes d’audiences déposées auprès des autorités compétentes. « Il n’y a rien à espérer des autorités », se désole t-il.
(Stagiaire)