Que faire face à ces barbares insensibles et lâches dont les cibles, pleutres qu’ils sont, sont souvent féminines ? Ils font de leur impunité un passe-droit pour terroriser les populations, et les substances psychotropes qu’ils avalent, leur tiennent lieu de courage.
Alors, plutôt que d’aller pour un énième séjour en prison où ils se reposent en fait, et y jouissent du statut de cadors de caniveau, peut-être faudrait-il envisager de les faire écrouer, une fois sévèrement condamnés, dans les prisons situées dans leurs régions, et villes d’origine, où il leur serait imposé comme application de leurs peines, d’aller balayer les rues où leurs mères et copains et surtout copines d’enfance habitent encore.
Puisqu’ils sont dénués de compassion, ils sont certainement sensibles à la honte qu’éprouveraient leurs parents, eux qui les croyaient, au pire, pianistes dans un bordel… Si ces peines étaient ainsi appliquées, et sans faiblesse, ils y regarderaient peut-être à deux fois avant d’abattre leurs coupe-coupe sur d’innocentes personnes, qui n’ont eu que le tort d’avoir travaillé pour pouvoir s’acheter un téléphone portable ou un ordinateur…
Les salauds qu’ils sont, peuvent être insensibles aux coups de matraques de matons désabusés, mais il est possible qu’ils puissent craindre de faire mourir de honte leurs vieilles mères, qui depuis leurs villages, les rêvent en hommes valeureux. Et puis, il y aurait aussi leurs pères qui pourraient considérer du haut de leur dignité, qu’ils leur ont donné la vie et qu’ils peuvent tout aussi bien la reprendre, jurisprudence Marvin Gaye oblige… Option qui serait salutaire et …sanitaire…
Jean Pierre Corréa
Alors, plutôt que d’aller pour un énième séjour en prison où ils se reposent en fait, et y jouissent du statut de cadors de caniveau, peut-être faudrait-il envisager de les faire écrouer, une fois sévèrement condamnés, dans les prisons situées dans leurs régions, et villes d’origine, où il leur serait imposé comme application de leurs peines, d’aller balayer les rues où leurs mères et copains et surtout copines d’enfance habitent encore.
Puisqu’ils sont dénués de compassion, ils sont certainement sensibles à la honte qu’éprouveraient leurs parents, eux qui les croyaient, au pire, pianistes dans un bordel… Si ces peines étaient ainsi appliquées, et sans faiblesse, ils y regarderaient peut-être à deux fois avant d’abattre leurs coupe-coupe sur d’innocentes personnes, qui n’ont eu que le tort d’avoir travaillé pour pouvoir s’acheter un téléphone portable ou un ordinateur…
Les salauds qu’ils sont, peuvent être insensibles aux coups de matraques de matons désabusés, mais il est possible qu’ils puissent craindre de faire mourir de honte leurs vieilles mères, qui depuis leurs villages, les rêvent en hommes valeureux. Et puis, il y aurait aussi leurs pères qui pourraient considérer du haut de leur dignité, qu’ils leur ont donné la vie et qu’ils peuvent tout aussi bien la reprendre, jurisprudence Marvin Gaye oblige… Option qui serait salutaire et …sanitaire…
Jean Pierre Corréa