Interpellé par le député Daour Niang Ndiaye sur le retard dans l’exécution des travaux à Dakar et l’affaire Bara Tall, Habib Sy a apporté une précision de taille, en disant que c’est le gouvernement qui a été le premier à porter plainte contre Bara Tall et le dossier est pendant devant la justice. Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres, des Télécommunications et des Tic a expliqué aux députés que c’est suite à une mauvaise réalisation du tronçon Kaolack-Nioro que le gouvernement a eu un différend avec l’entreprise Jean Lefèvre.
Il a ajouté que le bailleur principal de ces travaux, la Banque africaine de développement (Bad) a posé la condition de la réparation de ce tronçon à toute poursuite de son financement des autres projets. Habib Sy a indiqué aux députés que si Bara Tall ne réalise pas ces travaux, toutes les doléances sur les routes pourraient ne pas trouver solution. Il a cité plusieurs routes menacées par la condition de la Bad. Il y a, entre autre Kaolack-Nioro, Kaolack-Passy-Sokone, Tanaf-Gouloumbou, Oussouye-Elinkine ou Tamba-Médina Gounass, le Pont de Rosso, etc. Le ministre d’Etat a expliqué, par mesure conservatoire, que le gouvernement avait d’abord signifié à Jean Lefèvre que, si elle ne réalise pas les travaux, il va porter plainte. Ce qu’il a finalement fait, avant que le patron de l’entreprise Lefèvre ne parle dans la presse de ses difficultés et de sa plainte contre l’Etat sénégalais.
LE SOLEIL
Il a ajouté que le bailleur principal de ces travaux, la Banque africaine de développement (Bad) a posé la condition de la réparation de ce tronçon à toute poursuite de son financement des autres projets. Habib Sy a indiqué aux députés que si Bara Tall ne réalise pas ces travaux, toutes les doléances sur les routes pourraient ne pas trouver solution. Il a cité plusieurs routes menacées par la condition de la Bad. Il y a, entre autre Kaolack-Nioro, Kaolack-Passy-Sokone, Tanaf-Gouloumbou, Oussouye-Elinkine ou Tamba-Médina Gounass, le Pont de Rosso, etc. Le ministre d’Etat a expliqué, par mesure conservatoire, que le gouvernement avait d’abord signifié à Jean Lefèvre que, si elle ne réalise pas les travaux, il va porter plainte. Ce qu’il a finalement fait, avant que le patron de l’entreprise Lefèvre ne parle dans la presse de ses difficultés et de sa plainte contre l’Etat sénégalais.
LE SOLEIL