« Tout est possible, d’autant plus que le groupe des réformateurs envisage une tournée nationale et l’organisation d’un congrès. Fada peut s’arroger le poste de secrétaire général national du Pds, lors du congrès et créer ainsi, la confusion au sein de l’opinion », analyse M. Sy qui soutient qu’il serait regrettable que le Pds en arrive à cette extrémité « au moment où on prône la réunification de la famille libérale et la massification du parti en perspective de la prochaine Présidentielle ».
Même s’il reconnait que Modou Diagne Fada a commis une faute grave, en défiant le secrétaire général national du Pds, l’animateur du mouvement Vision pour un Sénégal nouveau pense que le parti lui a facilité la tâche. « Il a poussé le parti à l’exclure. Modou Diagne Fada est un as des manœuvres politiques en dépit de son âge. Il aurait démissionné du parti, son départ serait mal vu par l’opinion », explique l’ancien ministre de l’Agriculture sous Wade. À l’en croire, Fada¸ dans sa nouvelle posture, a la liberté de manœuvres.
Au-delà du Pds, le bras de fer des libéraux risque d’entacher la démocratie au sein du Parlement, car, selon M. Sy, on tend vers une Assemblée nationale monocolore. Il dénonce, par la même occasion, l’attitude de la majorité parlementaire qui a cherché à envenimer la situation. A l’en croire, la mouvance présidentielle perd la sérénité dans les débats à chaque fois qu’elle compromet ces forfaitures. Ce comportement, relève, d’après lui, du manque de maturité des leaders de Benno Bokk Yakaar.
Même s’il reconnait que Modou Diagne Fada a commis une faute grave, en défiant le secrétaire général national du Pds, l’animateur du mouvement Vision pour un Sénégal nouveau pense que le parti lui a facilité la tâche. « Il a poussé le parti à l’exclure. Modou Diagne Fada est un as des manœuvres politiques en dépit de son âge. Il aurait démissionné du parti, son départ serait mal vu par l’opinion », explique l’ancien ministre de l’Agriculture sous Wade. À l’en croire, Fada¸ dans sa nouvelle posture, a la liberté de manœuvres.
Au-delà du Pds, le bras de fer des libéraux risque d’entacher la démocratie au sein du Parlement, car, selon M. Sy, on tend vers une Assemblée nationale monocolore. Il dénonce, par la même occasion, l’attitude de la majorité parlementaire qui a cherché à envenimer la situation. A l’en croire, la mouvance présidentielle perd la sérénité dans les débats à chaque fois qu’elle compromet ces forfaitures. Ce comportement, relève, d’après lui, du manque de maturité des leaders de Benno Bokk Yakaar.