Initialement destiné à la construction d’une Maternité, le terrain de 1320 m² situé à l’Ilot B de Hann Mariste I, objet d’une expropriation, risque de virer dans le mauvais sens.
Et pour cause, les populations, face à ce qu’elles considèrent comme ‘‘une spoliation de leur propriété’’, n’entendent pas rester les bras croisés.
«Nous nous sommes réunis, pour manifester notre désaccord sur le morcellement à des fins commerciales de cet espace», ont-ils fait part, à l’unanimité, ce matin, au cours d’un point de presse, a appris actusen.
En effet, selon Oumar Diokhané, le président de l’Association pour le développement de Hann Mariste I (AdhmI), «la parcelle en question était déjà vendue, sous le défunt régime en 2001. Le promoteur de l’époque, qui avait voulu, en vain, construire une église, a dû, par l’intermédiaire d’un ministre, de ce même régime, procéder à un changement de propriété».
Mais, précise-t-il, «nous n’avons pas de problème avec le nouvel acquéreur de cette parcelle». Seulement, «les populations et les jeunes sont lésés et ne peuvent assister impuissants à la destruction de leur cadre de vie», a-t-il déploré.
L’expropriation de ce terrain, étant antérieure à l’arrivée du régime en place, Oumar Diokhané compte sur ‘‘son soutien pour que le problème soit réglé’’.
Du coté des jeunes, l’on n’entend pas céder un seul lopin de terre de ce site.
«Nous sommes unis comme un seul homme et engagés pour nous battre et ainsi récupérer notre propriété», a déclaré Serigne Modou Ba, un de leurs porte-paroles.
Et pour cause, les populations, face à ce qu’elles considèrent comme ‘‘une spoliation de leur propriété’’, n’entendent pas rester les bras croisés.
«Nous nous sommes réunis, pour manifester notre désaccord sur le morcellement à des fins commerciales de cet espace», ont-ils fait part, à l’unanimité, ce matin, au cours d’un point de presse, a appris actusen.
En effet, selon Oumar Diokhané, le président de l’Association pour le développement de Hann Mariste I (AdhmI), «la parcelle en question était déjà vendue, sous le défunt régime en 2001. Le promoteur de l’époque, qui avait voulu, en vain, construire une église, a dû, par l’intermédiaire d’un ministre, de ce même régime, procéder à un changement de propriété».
Mais, précise-t-il, «nous n’avons pas de problème avec le nouvel acquéreur de cette parcelle». Seulement, «les populations et les jeunes sont lésés et ne peuvent assister impuissants à la destruction de leur cadre de vie», a-t-il déploré.
L’expropriation de ce terrain, étant antérieure à l’arrivée du régime en place, Oumar Diokhané compte sur ‘‘son soutien pour que le problème soit réglé’’.
Du coté des jeunes, l’on n’entend pas céder un seul lopin de terre de ce site.
«Nous sommes unis comme un seul homme et engagés pour nous battre et ainsi récupérer notre propriété», a déclaré Serigne Modou Ba, un de leurs porte-paroles.