Alors qu'elle annonçait en juin être enceinte de son troisième enfant, Jessie Cave, l'actrice britannique de 33 ans qui a donné vie sur grand écran au personnage de Lavande Brown de la saga Harry Potter, fait aujourd'hui de poignantes confidences sur le viol dont elle a été victime durant sa jeunesse. Celle qui jouait la petite amie de Ron Weasley (incarné par l'acteur Rupert Grint, devenu papa pour la première fois en mai dernier) a évoqué ce douloureux souvenir dans un podcast intitulé We Can't Talk About That Right Now et relayé par le site Metro. L'ancienne élève de Poudlard raconte avoir été violée à l'âge de 14 ans et précise que son agresseur a depuis "été envoyé en prison".
Des confidences poignantes
A l'instar de J.K. Rowling, la créatrice du monde magique d'Harry Potter, qui a révélé avoir été victime de "violences conjugales et d'agressions sexuelles", la jeune actrice Jessie Cave a souhaité s'exprimer pour évoquer le viol qu'elle a subi par le passé. "Pour être honnête, l’acné et les appareils dentaires à l’adolescence, c'est pénible, mais je pense qu’être violée à 14 ans est encore pire", lance la jeune mère de famille, qui précise avoir été agressée par son entraineur de tennis, en qui elle avait "confiance" et qui "était donc en position de pouvoir". Le mouvement #MeToo, qui a mis à terre le producteur Harvey Weinstein et relancé la polémique autour des accusations contre le réalisateur Roman Polanski, a ouvert la voie à une libération de la parole des victimes dont
Des confidences poignantes
A l'instar de J.K. Rowling, la créatrice du monde magique d'Harry Potter, qui a révélé avoir été victime de "violences conjugales et d'agressions sexuelles", la jeune actrice Jessie Cave a souhaité s'exprimer pour évoquer le viol qu'elle a subi par le passé. "Pour être honnête, l’acné et les appareils dentaires à l’adolescence, c'est pénible, mais je pense qu’être violée à 14 ans est encore pire", lance la jeune mère de famille, qui précise avoir été agressée par son entraineur de tennis, en qui elle avait "confiance" et qui "était donc en position de pouvoir". Le mouvement #MeToo, qui a mis à terre le producteur Harvey Weinstein et relancé la polémique autour des accusations contre le réalisateur Roman Polanski, a ouvert la voie à une libération de la parole des victimes dont