Malgré l’annonce de l’imminence de son limogeage, Hassan Ba n’avait été officiellement pas été touché au moment où plus d’une trentaine de conseillers et chargés de missions avaient été démis de leur fonction après les Locales.
Toutefois, dans sa livraison de ce mois, le magazine "Clarté" semble confirmer cette mise à l’écart puisque tout ceci est écrit au conditionnel : "Jusque là considéré comme l’un des conseillers les plus en vue du Palais, Hassan Ba ne serait plus en cour auprès du président Wade et envisagerait de retourner à Genève où il s’occupait d’une Ong avant l’alternance".
Très porté sur les révélations, le magazine poursuit en écrivant que le conseiller spécial du président ne disposerait plus de ses bureaux au Palais.
Après la débâcle électorale du 22 mars, il a été le premier à reconnaître ses erreurs d’appréciation. Interrogé par "Walf-Tv", Ba avait présenté publiquement ses excuses au président de la République. Il reconnaissait l’avoir trompé en surestimant "involontairement" les chances de la "Génération du concret" face aux autres forces politiques présentes sur la scène nationale. Surtout à Fatick et à Thiès. Concernant la Cité du rail, il avait ajouté qu’Idrissa seck est le véritable homme fort de cette localité.
Boynadji, le fief de Hassan Bâ ne veut pas de Karim Wade
Hassane Bâ assume ses responsabilités
- Par Béatrice L. -
Toutefois, dans sa livraison de ce mois, le magazine "Clarté" semble confirmer cette mise à l’écart puisque tout ceci est écrit au conditionnel : "Jusque là considéré comme l’un des conseillers les plus en vue du Palais, Hassan Ba ne serait plus en cour auprès du président Wade et envisagerait de retourner à Genève où il s’occupait d’une Ong avant l’alternance".
Très porté sur les révélations, le magazine poursuit en écrivant que le conseiller spécial du président ne disposerait plus de ses bureaux au Palais.
Après la débâcle électorale du 22 mars, il a été le premier à reconnaître ses erreurs d’appréciation. Interrogé par "Walf-Tv", Ba avait présenté publiquement ses excuses au président de la République. Il reconnaissait l’avoir trompé en surestimant "involontairement" les chances de la "Génération du concret" face aux autres forces politiques présentes sur la scène nationale. Surtout à Fatick et à Thiès. Concernant la Cité du rail, il avait ajouté qu’Idrissa seck est le véritable homme fort de cette localité.
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