Epargnée par la première vague avec 6 cas positifs au Covid-19 sur les 95 enregistrés sur l’ensemble du district sanitaire de Vélingara, la capitale départementale est touchée de plein fouet cette fois-ci. Elle a même supplanté Médina Gounass. Au total, le district de santé a connu 128 cas de coronavirus depuis mars 2020, dont 33 pour cette seconde vague, localisés à Vélingara.
La ville de Vélingara a peur, d’autant plus que «les cas ne sont ni identifiés ni localisés par la population pour savoir à quoi s’en tenir», déplorent plusieurs personnes interrogées. Cela, à un moment où «même si le port du masque dans les lieux recevant du public devient un réflexe, ce n’est pas le cas pour le lavage systématique des mains. Voyez les lieux publics, même dans les services et banques, les dispositifs de lavage des mains sont emportés par la première vague», note Amadou Boiro.
Au courant de la rencontre, Dr. Sané a demandé aux chefs de service d’imposer le port du masque à leurs adjoints et surtout, de renouveler ou réparer les dispositifs de lavage des mains.
La ville de Vélingara a peur, d’autant plus que «les cas ne sont ni identifiés ni localisés par la population pour savoir à quoi s’en tenir», déplorent plusieurs personnes interrogées. Cela, à un moment où «même si le port du masque dans les lieux recevant du public devient un réflexe, ce n’est pas le cas pour le lavage systématique des mains. Voyez les lieux publics, même dans les services et banques, les dispositifs de lavage des mains sont emportés par la première vague», note Amadou Boiro.
Au courant de la rencontre, Dr. Sané a demandé aux chefs de service d’imposer le port du masque à leurs adjoints et surtout, de renouveler ou réparer les dispositifs de lavage des mains.