Lors de son voyage à la Mecque, il pria le créateur pour qu’il diminue sa puissance spirituelle que nul ne pouvait sonder. Avant d’arriver chez le Maître Seydi Hadji Malick, El Hadji Abdoulaye Sow était un savant accompli qui excellait dans le domaine des sciences Islamiques, il avait aussi pris le wird Khadr à l’époque.
Un jour, El Hadji Abdoulaye Sow se rendit chez un savant au Fouta, qui s’appelait Bocar Samba Dally, arrivé chez ce dernier, il ne le trouvât pas sur place. Ce savant en question était chez sa femme jinn et cette dernière lui a fait savoir qu’aujourd’hui, tu vas recevoir un homme de Dieu dans ta maison. À l’approche de sa demeure, Bocar Samba Dally accompagné de sa femme jinn, qui l’interpella, en lui disant : « As-tu vu la lumière qui jaillit de ta maison ? Je t’avais dis que tu recevrais un homme de Dieu, cet homme n’a qu’un seul problème, la Tariqa dont il faisait partie, ne peut plus supporter sa puissance mystique, seul l’homme au parapluie du nom de Maodo Malick est capable de le couver».
Une fois arrivé, et après les salutations d’usages, le savant Bocar Samba Dally lui dit: « je connais ton problème , et je vais t’indiquer la solution; il te faut rejoindre impérativement le Maître El Hadji Malick Sy, seul lui est capable de te donner ce dont tu as besoin, dans la mer de connaissance qu’il te plongera, tu pourras nager à l’aise et atteindre n’importe quelle profondeur».
Au moment de se rendre auprès du Maître Seydi Hadji Malick Sy, après chaque pas, il rédigeait un vers jusqu’à son arrivée chez le Maître. Lorsque El Hadji Abdoulaye Sow de Dagana arrivât chez le Maître, ils ont discuté pendant beaucoup de temps, puis El Hadji Abdoulaye Sow ne levât sa tête vers le haut. Le Maître Seydi Hadji Malick lui demanda le pourquoi il a levé la tête vers le haut, El Hadji Abdoulaye Sow répondit : « c’est des anges que je suis en train de contempler au dessus de là où nous sommes assis ». Le Maître Seydi Hadji Malick lui dit: « Puisque tu vois les anges qui planent au-dessus de nos têtes , alors nous n’avons plus rien à nous dire. »
L’on raconte aussi, qu’un soir à Saint-Louis, alors qu'El Hadji Abdoulaye Sow priait aux côtés du Maître Seydi Hadji Malick, lorsqu’il se tint debout pendant la prière, il vit le Maître devant lui et lorsqu’il s'assit, il vit le Maître derrière lui.
Toute les missions complexes qui nécessitaient une rare expertise, étaient confiées à El Hadji Abdoulaye Sow de Dagana, par le Maître Seydi Hadji Malick Sy.
L’on raconte qu’un jour, il y eut un problème d’héritage très complexe, c’est El Hadji Abdoulaye Sow qui fût envoyé par le Maître pour resolver le problème. Lorsque El Hadji Abdoulaye partit pour resoudre le problème un matin, le Maître demanda s’il est revenu après la prière de Tisbaar, on lui repondit non, après la prière de Takussan, il demanda la même question, on lui repondit toujours par la négative, après la prière de Timis lorsqu’il demanda après El Hadji Abdoulaye Sow et que ces interlocuteurs répondent par la négative, le Maître leur dit, si la prière de Guéwé ne le trouve pas ici, sachez que je ne m’appelle plus Malick.
Après la prière de Guéwé, le Maître demanda après El Hadji Abdoulaye Sy, cette fois-ci, c’est lui-même qui répondit, en lui disant : « Je suis là, Sy ». Le Maître lui dit : « Et la mission que je t’avais confiée, tu l’as réglée ? », El Hadji Abdoulaye Sow de répondre : « je suis venu avec les concernés pour qu’ils te disent eux-mêmes, ce qui a été retenu. »
Le concerné se leva automatiquement et dit au Maître : « Ton émissaire à tout réglé, sans qu’aucune arme ne soit dégainée, tout le monde est content et personne parmi nous n’a déjà vu un homme avec autant de sagesse. »
Souvent, El Hadji Abdoulaye Sow donnait à ses neveux des noms divins, en leur donnant un jour précis pour l’utiliser; mais ces derniers étaient tellement curieux qu’ils voulurent tout de suite utiliser les noms de Dieu, dès que El Hadji Abdoulaye Sow les vit, il leur dit immédiatement : " ne vous avais-je pas dit, de ne pas toucher maintenant aux noms de Dieu que je vous avais donnés ?".
Hormis le compagnon du Prophète Seydina Ousmane RTA, le Maître Seydi Hadji Malick est le seul érudit du monde, qui fait sa nafila en deux rakkats, où il récite tout le coran en entier.
Un jour, El Hadji Abdoulaye Sow se mit derrière le Maître pour le suivre dans sa nafila (prière nocturne); après la récitation de la sourate Baqara (La vache) El Hadji Abdoulaye Sow s’évanouit. À son réveil, il trouva le Maître en train de prier, toujours en récitant le Coran en entier; c’est à cet instant qu’El Hadji Abdoulaye Sow écrivit son premier poème en l’honneur du Maître Seydi Hadji Malick Sy.
El Hadji Abdoulaye Sow était un érudit d’une dimension inégalée et il est de notoriété publique, que ses prières étaient toujours exaucées. Son entourage était composé des plus grands nobles, savants et autorités de Dagana, qui lui vouaient tous un très grand respect.
L’on raconte que lorsque El Hadji Abdoulaye Sow se rendait dans un cimetière, il pouvait connaître l’emplacement et le nom des défunts sans lire les inscriptions.
L’on raconte aussi qu’un jour, on est venu lui dire que un de ses disciples est gravement malade; El Hadji Abdoulaye Sow de répondre que ce dernier mourra mardi prochain, à 4h du matin et il ira au paradis. Lorsque ces personnes retournèrent auprès du docteur pour lui dire les prédictions de El Hadji Abdoulaye Sow, la réaction du docteur fut pessimiste, il leur dit : « votre marabout est en train d’exagérer, personnellement je sais qu’il est très malade, mais le jour et l’heure de son décès me sont complètement inconnus». C’est le Sage Makha Sarr qui dit au docteur : « Ne soyez pas dubitatif, tout ce que El Hadji Abdoulaye Sow dit, on finit toujours par le voir ». Comme l’avait prédit El Hadji Abdoulaye Sow, c’est à 4h du matin, le mardi, que son disciple quitta le bas monde.
Un jour, alors que son fils Serigne Oumar Sow s’était rendu pour les besoins d’un ziaar en l’honneur de El Hadji Oumar Foutiyou Tall, à Bandiagara; il y trouva dans la demeure de Foutiyou, des femmes qui récitaient un poème de El Hadji Abdoulaye Sow Dagana.
Il est rapporté qu’un de ses anciens talibés ayant sollicité ses prières et s’étant vu promu à un haut poste dans l’armée sénégalaise, lui avait remis par un tiers une enveloppe.
Quand il se rendit compte du contenu de l’enveloppe (50.000 FCfa de l’époque), El Hadji Abdoulaye Sow piqua une grande colère et rappela le donateur en question, pour qu’il revienne prendre la somme d’argent, qu’il pouvait remettre aux nécessiteux ou à ses propres parents, qui, eux, en ont certainement plus besoin.
Une simple créature de mon espèce, lui lança-t-il, ne peut afficher un quelconque prix à une prière exaucée par le Tout-puissant. De même, il refusait qu’il lui offre un mouton à l’occasion de la Tabaski, car pour lui, tout musulman doit acheter licitement son mouton, pour en mériter les faveurs attachés au sacrifice d’Abraham.
En vérité, Serigne Abdoulaye avait élevé très haut le culte du travail.
Le jour où il décéda en 1963, toute personne présente à Dagana ce jour-là, avait la faculté de voir de visu le célèbre pont de Faidherbe de Saint Louis, depuis le lieu de la levée du corps.
Au rappel à Dieu du Saint homme, Serigne Fallou Mbacké insista pour construire le mausolée, mais la famille déclina l’offre, arguant que la Baraka du Saint Homme devait revenir à tout un chacun.
C’est le défunt Khalife général des Tijanes, El Hadji Abdoul Aziz Sy Dabakh, qui présida la prière mortuaire.
L’un de ses plus grands disciples est Serigne Atou Cissé, qui est le père de Alassane Cissé, lui-même père de Mouhammadou Makhtar Cissé, ancien directeur de la Douane, de la Sénélec, ancien ministre du Pétrole et aujourd’hui, inspecteur général d’Etat.
Source Cellule Zawiya Tidianiyya
Un jour, El Hadji Abdoulaye Sow se rendit chez un savant au Fouta, qui s’appelait Bocar Samba Dally, arrivé chez ce dernier, il ne le trouvât pas sur place. Ce savant en question était chez sa femme jinn et cette dernière lui a fait savoir qu’aujourd’hui, tu vas recevoir un homme de Dieu dans ta maison. À l’approche de sa demeure, Bocar Samba Dally accompagné de sa femme jinn, qui l’interpella, en lui disant : « As-tu vu la lumière qui jaillit de ta maison ? Je t’avais dis que tu recevrais un homme de Dieu, cet homme n’a qu’un seul problème, la Tariqa dont il faisait partie, ne peut plus supporter sa puissance mystique, seul l’homme au parapluie du nom de Maodo Malick est capable de le couver».
Une fois arrivé, et après les salutations d’usages, le savant Bocar Samba Dally lui dit: « je connais ton problème , et je vais t’indiquer la solution; il te faut rejoindre impérativement le Maître El Hadji Malick Sy, seul lui est capable de te donner ce dont tu as besoin, dans la mer de connaissance qu’il te plongera, tu pourras nager à l’aise et atteindre n’importe quelle profondeur».
Au moment de se rendre auprès du Maître Seydi Hadji Malick Sy, après chaque pas, il rédigeait un vers jusqu’à son arrivée chez le Maître. Lorsque El Hadji Abdoulaye Sow de Dagana arrivât chez le Maître, ils ont discuté pendant beaucoup de temps, puis El Hadji Abdoulaye Sow ne levât sa tête vers le haut. Le Maître Seydi Hadji Malick lui demanda le pourquoi il a levé la tête vers le haut, El Hadji Abdoulaye Sow répondit : « c’est des anges que je suis en train de contempler au dessus de là où nous sommes assis ». Le Maître Seydi Hadji Malick lui dit: « Puisque tu vois les anges qui planent au-dessus de nos têtes , alors nous n’avons plus rien à nous dire. »
L’on raconte aussi, qu’un soir à Saint-Louis, alors qu'El Hadji Abdoulaye Sow priait aux côtés du Maître Seydi Hadji Malick, lorsqu’il se tint debout pendant la prière, il vit le Maître devant lui et lorsqu’il s'assit, il vit le Maître derrière lui.
Toute les missions complexes qui nécessitaient une rare expertise, étaient confiées à El Hadji Abdoulaye Sow de Dagana, par le Maître Seydi Hadji Malick Sy.
L’on raconte qu’un jour, il y eut un problème d’héritage très complexe, c’est El Hadji Abdoulaye Sow qui fût envoyé par le Maître pour resolver le problème. Lorsque El Hadji Abdoulaye partit pour resoudre le problème un matin, le Maître demanda s’il est revenu après la prière de Tisbaar, on lui repondit non, après la prière de Takussan, il demanda la même question, on lui repondit toujours par la négative, après la prière de Timis lorsqu’il demanda après El Hadji Abdoulaye Sow et que ces interlocuteurs répondent par la négative, le Maître leur dit, si la prière de Guéwé ne le trouve pas ici, sachez que je ne m’appelle plus Malick.
Après la prière de Guéwé, le Maître demanda après El Hadji Abdoulaye Sy, cette fois-ci, c’est lui-même qui répondit, en lui disant : « Je suis là, Sy ». Le Maître lui dit : « Et la mission que je t’avais confiée, tu l’as réglée ? », El Hadji Abdoulaye Sow de répondre : « je suis venu avec les concernés pour qu’ils te disent eux-mêmes, ce qui a été retenu. »
Le concerné se leva automatiquement et dit au Maître : « Ton émissaire à tout réglé, sans qu’aucune arme ne soit dégainée, tout le monde est content et personne parmi nous n’a déjà vu un homme avec autant de sagesse. »
Souvent, El Hadji Abdoulaye Sow donnait à ses neveux des noms divins, en leur donnant un jour précis pour l’utiliser; mais ces derniers étaient tellement curieux qu’ils voulurent tout de suite utiliser les noms de Dieu, dès que El Hadji Abdoulaye Sow les vit, il leur dit immédiatement : " ne vous avais-je pas dit, de ne pas toucher maintenant aux noms de Dieu que je vous avais donnés ?".
Hormis le compagnon du Prophète Seydina Ousmane RTA, le Maître Seydi Hadji Malick est le seul érudit du monde, qui fait sa nafila en deux rakkats, où il récite tout le coran en entier.
Un jour, El Hadji Abdoulaye Sow se mit derrière le Maître pour le suivre dans sa nafila (prière nocturne); après la récitation de la sourate Baqara (La vache) El Hadji Abdoulaye Sow s’évanouit. À son réveil, il trouva le Maître en train de prier, toujours en récitant le Coran en entier; c’est à cet instant qu’El Hadji Abdoulaye Sow écrivit son premier poème en l’honneur du Maître Seydi Hadji Malick Sy.
El Hadji Abdoulaye Sow était un érudit d’une dimension inégalée et il est de notoriété publique, que ses prières étaient toujours exaucées. Son entourage était composé des plus grands nobles, savants et autorités de Dagana, qui lui vouaient tous un très grand respect.
L’on raconte que lorsque El Hadji Abdoulaye Sow se rendait dans un cimetière, il pouvait connaître l’emplacement et le nom des défunts sans lire les inscriptions.
L’on raconte aussi qu’un jour, on est venu lui dire que un de ses disciples est gravement malade; El Hadji Abdoulaye Sow de répondre que ce dernier mourra mardi prochain, à 4h du matin et il ira au paradis. Lorsque ces personnes retournèrent auprès du docteur pour lui dire les prédictions de El Hadji Abdoulaye Sow, la réaction du docteur fut pessimiste, il leur dit : « votre marabout est en train d’exagérer, personnellement je sais qu’il est très malade, mais le jour et l’heure de son décès me sont complètement inconnus». C’est le Sage Makha Sarr qui dit au docteur : « Ne soyez pas dubitatif, tout ce que El Hadji Abdoulaye Sow dit, on finit toujours par le voir ». Comme l’avait prédit El Hadji Abdoulaye Sow, c’est à 4h du matin, le mardi, que son disciple quitta le bas monde.
Un jour, alors que son fils Serigne Oumar Sow s’était rendu pour les besoins d’un ziaar en l’honneur de El Hadji Oumar Foutiyou Tall, à Bandiagara; il y trouva dans la demeure de Foutiyou, des femmes qui récitaient un poème de El Hadji Abdoulaye Sow Dagana.
Il est rapporté qu’un de ses anciens talibés ayant sollicité ses prières et s’étant vu promu à un haut poste dans l’armée sénégalaise, lui avait remis par un tiers une enveloppe.
Quand il se rendit compte du contenu de l’enveloppe (50.000 FCfa de l’époque), El Hadji Abdoulaye Sow piqua une grande colère et rappela le donateur en question, pour qu’il revienne prendre la somme d’argent, qu’il pouvait remettre aux nécessiteux ou à ses propres parents, qui, eux, en ont certainement plus besoin.
Une simple créature de mon espèce, lui lança-t-il, ne peut afficher un quelconque prix à une prière exaucée par le Tout-puissant. De même, il refusait qu’il lui offre un mouton à l’occasion de la Tabaski, car pour lui, tout musulman doit acheter licitement son mouton, pour en mériter les faveurs attachés au sacrifice d’Abraham.
En vérité, Serigne Abdoulaye avait élevé très haut le culte du travail.
Le jour où il décéda en 1963, toute personne présente à Dagana ce jour-là, avait la faculté de voir de visu le célèbre pont de Faidherbe de Saint Louis, depuis le lieu de la levée du corps.
Au rappel à Dieu du Saint homme, Serigne Fallou Mbacké insista pour construire le mausolée, mais la famille déclina l’offre, arguant que la Baraka du Saint Homme devait revenir à tout un chacun.
C’est le défunt Khalife général des Tijanes, El Hadji Abdoul Aziz Sy Dabakh, qui présida la prière mortuaire.
L’un de ses plus grands disciples est Serigne Atou Cissé, qui est le père de Alassane Cissé, lui-même père de Mouhammadou Makhtar Cissé, ancien directeur de la Douane, de la Sénélec, ancien ministre du Pétrole et aujourd’hui, inspecteur général d’Etat.
Source Cellule Zawiya Tidianiyya