A ce propos, et nous y reviendrons dans d’autres écrits, car il nous plaît maintenant de nous adresser à nos chers compatriotes, nous pensons qu’il y a un minimum du cursus scolaire que la loi doit rendre obligatoire pour tous. L’enseignant et le professeur doivent être bien formés et bien dotés pour pouvoir sereinement et brillamment assurer leur sacerdoce. Eux peuvent de façon décisive, à coté de ce qui peut être fait ou défait par la famille et le proche environnement sociétal, « former » des sénégalaises et des sénégalais de qualité. En effet, d’un bon système éducatif peuvent émerger des gens de qualité, des gens nobles, des gens d’une grande intelligence, des gens utile à notre nation.
Seulement, il faut savoir rendre à César ce qui appartient à César. De ce point de vu, même si nous ne cautionnons pas les grèves et autres boycotts, nous soutenons que la rémunération du Professeur et de l’Enseignant doit être super-élevée, elle doit être l’une des plus élevées du système. La perception de ce très noble métier qui est la transmission du savoir, de la vertu et des valeurs doit changer. Une réforme profonde doit pousser les meilleurs élèves et étudiants à désirer ces professions si ces professions les mettent réellement à l’abri du besoin et de la pauvreté. Le professeur et l’enseignant doivent être riches en argent de par leurs seuls salaires. Ils le méritent et c’est un excellent investissement pour l’Etat. Véritablement, est-ce logique de payer très cher celui qui juge un délinquant, de payer très cher celui qui défend un délinquant ou encore de payer très cher celui qui soigne un malade et de sous-payer celui qui par son travail peut éviter qu’un individu soit délinquant ou lui éviter les maladies contractées par ignorance ? Les professeurs et enseignants doivent être des parents très riches de la société. Leur sacerdoce est noble et honorable. L’honneur a besoin d’argent ; le penseur l’a bien dit : sans argent l’honneur n’est que maladie.
Nous sommes d’avis que la grande réforme pertinente de notre système éducatif et ce qui à moyen et long terme évitera au Sénégal des matchs suspendus par des jets de pierres, des pare-brises casses….
Avec une école obligatoire, des enseignants rigoureusement bien sélectionnés puis bien formés et très à l’aise financièrement pour se consacrer à leur sacerdoce, le Sénégal pourra dans quelques années réduire l’indiscipline qui se généralise.
Pour que devienne un grand pays, le Sénégal, notre patrie bien aimée !
Michel Simel BASSE
Seulement, il faut savoir rendre à César ce qui appartient à César. De ce point de vu, même si nous ne cautionnons pas les grèves et autres boycotts, nous soutenons que la rémunération du Professeur et de l’Enseignant doit être super-élevée, elle doit être l’une des plus élevées du système. La perception de ce très noble métier qui est la transmission du savoir, de la vertu et des valeurs doit changer. Une réforme profonde doit pousser les meilleurs élèves et étudiants à désirer ces professions si ces professions les mettent réellement à l’abri du besoin et de la pauvreté. Le professeur et l’enseignant doivent être riches en argent de par leurs seuls salaires. Ils le méritent et c’est un excellent investissement pour l’Etat. Véritablement, est-ce logique de payer très cher celui qui juge un délinquant, de payer très cher celui qui défend un délinquant ou encore de payer très cher celui qui soigne un malade et de sous-payer celui qui par son travail peut éviter qu’un individu soit délinquant ou lui éviter les maladies contractées par ignorance ? Les professeurs et enseignants doivent être des parents très riches de la société. Leur sacerdoce est noble et honorable. L’honneur a besoin d’argent ; le penseur l’a bien dit : sans argent l’honneur n’est que maladie.
Nous sommes d’avis que la grande réforme pertinente de notre système éducatif et ce qui à moyen et long terme évitera au Sénégal des matchs suspendus par des jets de pierres, des pare-brises casses….
Avec une école obligatoire, des enseignants rigoureusement bien sélectionnés puis bien formés et très à l’aise financièrement pour se consacrer à leur sacerdoce, le Sénégal pourra dans quelques années réduire l’indiscipline qui se généralise.
Pour que devienne un grand pays, le Sénégal, notre patrie bien aimée !
Michel Simel BASSE