En effet, il n’est pas rare de voir le paysan même rallier la capitale pour écouler sa production. Actuellement, nombreux sont les marchands de pastèques qui se frottent les mains, avec la commercialisation de leurs marchandises.
Au Sénégal, la pastèque est très bien consommée, après les repas, le soir bref, il n’y a pas une heure fixe pour en prendre. Ce fruit est vendu en détail à 150 francs, 100 francs …ça dépend du pouvoir d’achat de chacun. Daouda, un cultivateur de pastèques, venu écouler sa marchandise dans la capitale, nous met au parfum
« Les pastèques proviennent du Walo, je suis paysan en même temps vendeur, quand je termine la culture, je viens écouler ma marchandise. Ceux qui achètent au niveau des champs, ils achètent par sac ou par voiture « Peugeot », la voiture de pastèque coute 85 000 francs Cfa et il faut payer 8000 FCfa pour chaque chargement.
Le propriétaire de la voiture « Peugeot » aura 5 000 FCfa et ceux qui chargent les pastèques, 3000 francs Cfa. Il faut maintenant acheter une valeur de sept Peugeot, pour remplir un camion, et payer 150 000 FCfa pour le transport. On s’en sort, on arrive à avoir un bénéfice. La place que j’occupe, appartient à la mairie, j’ai payé 12 000 FCfa pour le mois. La pastèque peut coûter 1000, 2000, 2500 FCfa, ça dépend.»
À côté des grossistes, il y a aussi des femmes qui viennent acheter pour vendre en détail, c’est le cas de Mariama : « Je viens ici prendre des pastèques que je découpe, pour vendre à 150 ,100 FCfa…J’y trouve mon compte ».
Au Sénégal, la pastèque est très bien consommée, après les repas, le soir bref, il n’y a pas une heure fixe pour en prendre. Ce fruit est vendu en détail à 150 francs, 100 francs …ça dépend du pouvoir d’achat de chacun. Daouda, un cultivateur de pastèques, venu écouler sa marchandise dans la capitale, nous met au parfum
« Les pastèques proviennent du Walo, je suis paysan en même temps vendeur, quand je termine la culture, je viens écouler ma marchandise. Ceux qui achètent au niveau des champs, ils achètent par sac ou par voiture « Peugeot », la voiture de pastèque coute 85 000 francs Cfa et il faut payer 8000 FCfa pour chaque chargement.
Le propriétaire de la voiture « Peugeot » aura 5 000 FCfa et ceux qui chargent les pastèques, 3000 francs Cfa. Il faut maintenant acheter une valeur de sept Peugeot, pour remplir un camion, et payer 150 000 FCfa pour le transport. On s’en sort, on arrive à avoir un bénéfice. La place que j’occupe, appartient à la mairie, j’ai payé 12 000 FCfa pour le mois. La pastèque peut coûter 1000, 2000, 2500 FCfa, ça dépend.»
À côté des grossistes, il y a aussi des femmes qui viennent acheter pour vendre en détail, c’est le cas de Mariama : « Je viens ici prendre des pastèques que je découpe, pour vendre à 150 ,100 FCfa…J’y trouve mon compte ».
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