La vente annoncée de l’hôtel Méridien-Président a-t-elle avorté ? Tout le laisse à le croire. En effet après plus d’un an de moult tractations pour vendre cet hôtel construit en marge du sommet de l’Oci tenu à Dakar en 1991, voila que le gouvernement veule faire de cet hôtel un don inaliénable. A cet effet le président de la République a demandé au Gouvernement lors du Conseil des Ministres de vendredi dernier de préparer un projet de loi déclarant inaliénable l’hôtel Méridien-Président, don du Royaume d’Arabie Saoudite au Sénégal. Pourtant l’année dernière le ministre de l’économie et des finances Abdoulaye Diop avait annoncé la vente de cet hôtel pour payer une partie de la dette intérieure qui était estimée à l’époque à 174 milliards. Et cette annoncé faisait suite à la vente des actions que l’Etat détenait dans le capital Sonatel.
Le chef de l’Etat, évoquant aussi la question de l’emploi des jeunes en banlieue, a fait part de sa nouvelle conception économique de la lutte contre la pauvreté, qui, au lieu d’être basée sur la relance de l’investissement dans le seul secteur moderne, s’appuierait, au contraire, sur la valorisation des activités traditionnelles non formelles génératrices de revenus et l’accompagnement de la transition vers des structures organisées de type TPE (Très Petites Entreprises) ou unités familiales de production.
Il a, à cet effet, marqué son intérêt pour la formation des jeunes dans divers métiers identifiés en banlieue et à l’intérieur du pays dans le cadre de l’étude menée par le Ministère de la Formation Professionnelle. Il a informé le Conseil avoir soumis à divers partenaires au développement le financement de cet important projet basé sur une conception économique nouvelle de lutte contre la pauvreté par la mise à disposition de kits d’outils appropriés.
Birahim NDIAYE
Source Walfadjri
Le chef de l’Etat, évoquant aussi la question de l’emploi des jeunes en banlieue, a fait part de sa nouvelle conception économique de la lutte contre la pauvreté, qui, au lieu d’être basée sur la relance de l’investissement dans le seul secteur moderne, s’appuierait, au contraire, sur la valorisation des activités traditionnelles non formelles génératrices de revenus et l’accompagnement de la transition vers des structures organisées de type TPE (Très Petites Entreprises) ou unités familiales de production.
Il a, à cet effet, marqué son intérêt pour la formation des jeunes dans divers métiers identifiés en banlieue et à l’intérieur du pays dans le cadre de l’étude menée par le Ministère de la Formation Professionnelle. Il a informé le Conseil avoir soumis à divers partenaires au développement le financement de cet important projet basé sur une conception économique nouvelle de lutte contre la pauvreté par la mise à disposition de kits d’outils appropriés.
Birahim NDIAYE
Source Walfadjri