Le Consulat général de France à Dakar reçoit environ 30.000 demandes de visas par an avec un taux de délivrance de près de 80%, a révélé à l'APS le consul Jean-Marc Grosgurin.
''Près de huit demandes sur dix sont donc satisfaites, situation bien plus favorable qu'il y a six ou sept ans (taux de 60 % seulement). Naturellement, le taux de délivrance varie selon le type de visa demandé'', a-t-il précisé.
M. Grosgurin a relevé que le profil des demandeurs est ''très diversifié'' et dépend du motif du séjour : visite familiale, regroupement familial, déplacement médical, conjoints de Français, touristes, hommes d'affaires, chercheurs, artistes, stagiaires, sportifs.
''Cette diversité reflète en réalité la densité des liens qui unissent les sociétés sénégalaise et française'', a-t-il souligné.
Avec la perspective des rentrées universitaires, les étudiants sont ''très nombreux'', d'où, pour répondre à cette demande croissante, 60 étudiants sont reçus chaque jour au service des visas du Consulat général de France, une fois les démarches préalables effectuées par les candidats (pré inscription auprès d'un établissement et entretien obligatoire).
A une question sur les conditions à remplir pour pouvoir disposer du visa, le consul a rappelé que ''tous les pays de l'espace Schengen sont soumis à une réglementation commune en matière de visas de court séjour accessible dans le Manuel Consulaire Commun des pays membres de l'espace Schengen''.
Selon lui, les pièces demandées varient en fonction du type de visa souhaité. Le dossier déposé par le demandeur, précise-t-il, doit être complet car l'instruction est effectuée à l'aune des pièces qui y sont versées.
''Pour l'octroi d'un visa court séjour, les éléments examinés sont notamment : les raisons du voyage, les conditions du séjour et les moyens de subsistance, les garanties du retour, la situation familiale, la souscription d'une assurance Schengen'', souligne le diplomate non sans relever que la délivrance d'un faux document (fausse attestation, faux relevé bancaire, faux document officiel) est ''totalement rédhibitoire et entraîne un refus systématique''.
''Près de huit demandes sur dix sont donc satisfaites, situation bien plus favorable qu'il y a six ou sept ans (taux de 60 % seulement). Naturellement, le taux de délivrance varie selon le type de visa demandé'', a-t-il précisé.
M. Grosgurin a relevé que le profil des demandeurs est ''très diversifié'' et dépend du motif du séjour : visite familiale, regroupement familial, déplacement médical, conjoints de Français, touristes, hommes d'affaires, chercheurs, artistes, stagiaires, sportifs.
''Cette diversité reflète en réalité la densité des liens qui unissent les sociétés sénégalaise et française'', a-t-il souligné.
Avec la perspective des rentrées universitaires, les étudiants sont ''très nombreux'', d'où, pour répondre à cette demande croissante, 60 étudiants sont reçus chaque jour au service des visas du Consulat général de France, une fois les démarches préalables effectuées par les candidats (pré inscription auprès d'un établissement et entretien obligatoire).
A une question sur les conditions à remplir pour pouvoir disposer du visa, le consul a rappelé que ''tous les pays de l'espace Schengen sont soumis à une réglementation commune en matière de visas de court séjour accessible dans le Manuel Consulaire Commun des pays membres de l'espace Schengen''.
Selon lui, les pièces demandées varient en fonction du type de visa souhaité. Le dossier déposé par le demandeur, précise-t-il, doit être complet car l'instruction est effectuée à l'aune des pièces qui y sont versées.
''Pour l'octroi d'un visa court séjour, les éléments examinés sont notamment : les raisons du voyage, les conditions du séjour et les moyens de subsistance, les garanties du retour, la situation familiale, la souscription d'une assurance Schengen'', souligne le diplomate non sans relever que la délivrance d'un faux document (fausse attestation, faux relevé bancaire, faux document officiel) est ''totalement rédhibitoire et entraîne un refus systématique''.