À l'en croire, selon le journal "Tribune", le constat est qu'il y a encore des efforts à faire. «Nous sommes venus pour évaluer l'état de mise en œuvre des différentes recommandations qui avaient été faites avant le démarrage du Ramadan. Globalement, comme vous l'avez constaté avec nous, le problème de l'hygiène se pose avec acuité dans les boulangeries», a remarqué capitaine Idrissa Ndiaye.
Toutefois, rajoute le quotidien, il rappelle que la vente du pain au Sénégal est encadrée par le décret 2019-2277, dans ces articles 9, 10, 11 et 12, qui évoque que la dimension de l'hygiène doit être appréciée, au niveau des lieux de vente du pain.
«Sur le plan de l'hygiène individuel, il y a des difficultés avec l'absence de visite médicale périodique du personnel. Le dispositif du lavage des mains au savon fait défaut au niveau des boulangeries», regrette M. Ndiaye.
"Tribune" rapporte aussi qu’au niveau de l'environnement où évoluent les boulangers, le défaut de balayage est un vrai problème, avec une mauvaise gestion des déchets. Le chef de la Brigade régionale de l'Hygiène de Dakar a aussi déploré le convoyage du pain par les deux roues, les taxis clando, entre autres.
Toutefois, rajoute le quotidien, il rappelle que la vente du pain au Sénégal est encadrée par le décret 2019-2277, dans ces articles 9, 10, 11 et 12, qui évoque que la dimension de l'hygiène doit être appréciée, au niveau des lieux de vente du pain.
«Sur le plan de l'hygiène individuel, il y a des difficultés avec l'absence de visite médicale périodique du personnel. Le dispositif du lavage des mains au savon fait défaut au niveau des boulangeries», regrette M. Ndiaye.
"Tribune" rapporte aussi qu’au niveau de l'environnement où évoluent les boulangers, le défaut de balayage est un vrai problème, avec une mauvaise gestion des déchets. Le chef de la Brigade régionale de l'Hygiène de Dakar a aussi déploré le convoyage du pain par les deux roues, les taxis clando, entre autres.