«L’éducation que la musique donne, le reflet qu’elle transmet aux enfants n’est pas bien», a dit d’emblée celui qui a fêté ses 40 ans de musique en décembre dernier. «Aujourd’hui, dans la musique sénégalaise, tout est basé sur la vulgarité, la danse, la musique, les chansons, les paroles», a-t-il clamé avant d’ajouter que son premier combat après son installation définitive au Sénégal était de trouver des solutions par rapport à ce fléau. «Mon premier problème a été de savoir comment mettre en place quelque chose pour changer cela», a affirmé Idrissa Diop.
«Nous sommes des marchands de bonheur, pas de vulgarité»
Le chanteur sénégalais qui a été l’un des membres fondateurs du groupe «Sahel de Dakar» de préciser que les musiciens ne doivent pas être de mauvais exemples. Au contraire, ils doivent porter leur public sur un nuage et lui faire plaisir. «Nous sommes des vendeurs de rêve, des marchands de bonheur, pas des marchands de vulgarité», a souligné M. Diop.
L’auteur compositeur, qui souligne que le futur culturel doit produire une bonne influence sur les enfants, a estimé qu’il doit de ce fait être une priorité de tout un chacun. Parce que ce qui se passe actuellement est inquiétant et qu’il faut arrêter de faire dans la dérive. «Qu’est-ce qu’on peut laisser aux jeunes comme éducation culturelle ? C’est cela la principale préoccupation», a indiqué l’auteur de «Nima Yalla Def».
Il faut noter que le chanteur aime mélanger sa musique, en s’inspirant par exemple d’un style de sonorités latino qui a influencé son enfance qu’il a passée à Malika (banlieue de Dakar) et de l’Afro jazz.
Oumou Sidya DRAME
Source Le Populaire
«Nous sommes des marchands de bonheur, pas de vulgarité»
Le chanteur sénégalais qui a été l’un des membres fondateurs du groupe «Sahel de Dakar» de préciser que les musiciens ne doivent pas être de mauvais exemples. Au contraire, ils doivent porter leur public sur un nuage et lui faire plaisir. «Nous sommes des vendeurs de rêve, des marchands de bonheur, pas des marchands de vulgarité», a souligné M. Diop.
L’auteur compositeur, qui souligne que le futur culturel doit produire une bonne influence sur les enfants, a estimé qu’il doit de ce fait être une priorité de tout un chacun. Parce que ce qui se passe actuellement est inquiétant et qu’il faut arrêter de faire dans la dérive. «Qu’est-ce qu’on peut laisser aux jeunes comme éducation culturelle ? C’est cela la principale préoccupation», a indiqué l’auteur de «Nima Yalla Def».
Il faut noter que le chanteur aime mélanger sa musique, en s’inspirant par exemple d’un style de sonorités latino qui a influencé son enfance qu’il a passée à Malika (banlieue de Dakar) et de l’Afro jazz.
Oumou Sidya DRAME
Source Le Populaire