Lorsque son mari décéda en 2005, dame D. D. déménagea avec son fils M. D. à Djikoroni Para dans la nouvelle concession que son époux y avait construite avant de prendre sa retraite existentielle .Là-Bas, elle vécut en peaux avec son fils. Mais, au fil de chaudes nuits de jeux de jambes en l’air, tous les voisins ne tardèrent pas à remarquer que la griotte du coin était trop attentionnée envers son fils. Mais, jusqu’en 2002, personne n’imagina la relation intime qui liait la mère à son rejeton.
En fin 2007, plus précisément en novembre, la Dame D. D. tomba en grossesse à la grande surprise générale. Jusque-là, nul n’avait souvenance de l’avoir vu fréquenter un homme.
Dans le quartier, on commença à jaser et tout le monde finit par se lasser à la fin.
Apres neuf longs mois de grossesse, elle finit par accoucher. Contrairement à la coutume, elle n’organisa pas de cérémonie de baptême. Et le temps s’écoula allégement. Mais, en ce mois d’août, elle fut terrassée par un mal insidieux. Elle fit le tour des hôpitaux sans pouvoir guérir .Comble de malheur ! Le mal empirait de jour en jour, sans lui laisser une minute de répit. On se tourna alors vers les «soma» .Consultés sur l’origine du mal, ces charlatans furent unanimes : «Madame, votre mal n’est pas une maladie ordinaire et si vous ne faites pas attention, elle risque de vous coûter la vie». Dans l’espoir de guérir, elle dépensa sans compter, jusqu’ au jour où, elle se rendit chez Monsieur S., un soma réputé de Sebenikoro. Lequel ne mâcha ses mots : «Vous avez commis un acte impur… Je dirais même… ignoble. Si vous permettez le terme. Et, les mannes de vos ancêtres n’ont pas apprécié
Confessez-vous et vous serez libérée de ce mal insidieuse qui vous dévore. Sinon, je ne donne pas cher à votre vie. Mais, bien avant, voilà les sacrifices que vous devez faire. Et, il énuméra lesdits sacrifices».
Désorientée, la dame D. D. réunit quelques vieilles personnes et leur avoua son forfait .Mais, hélas ! Comme les murs ont des oreilles, la nouvelle ne tarda pas à faire le tour du quartier. La dame D. D., confuse et abattue, s’enferma chez elle, ne mettant le bout du nez dehors que lorsqu’elle n’en avait pas le choix. Fin aAoût, le fils inceste, accablé par les jaseries, disparut de la circulation sans laisser de trace.
S.N
En fin 2007, plus précisément en novembre, la Dame D. D. tomba en grossesse à la grande surprise générale. Jusque-là, nul n’avait souvenance de l’avoir vu fréquenter un homme.
Dans le quartier, on commença à jaser et tout le monde finit par se lasser à la fin.
Apres neuf longs mois de grossesse, elle finit par accoucher. Contrairement à la coutume, elle n’organisa pas de cérémonie de baptême. Et le temps s’écoula allégement. Mais, en ce mois d’août, elle fut terrassée par un mal insidieux. Elle fit le tour des hôpitaux sans pouvoir guérir .Comble de malheur ! Le mal empirait de jour en jour, sans lui laisser une minute de répit. On se tourna alors vers les «soma» .Consultés sur l’origine du mal, ces charlatans furent unanimes : «Madame, votre mal n’est pas une maladie ordinaire et si vous ne faites pas attention, elle risque de vous coûter la vie». Dans l’espoir de guérir, elle dépensa sans compter, jusqu’ au jour où, elle se rendit chez Monsieur S., un soma réputé de Sebenikoro. Lequel ne mâcha ses mots : «Vous avez commis un acte impur… Je dirais même… ignoble. Si vous permettez le terme. Et, les mannes de vos ancêtres n’ont pas apprécié
Confessez-vous et vous serez libérée de ce mal insidieuse qui vous dévore. Sinon, je ne donne pas cher à votre vie. Mais, bien avant, voilà les sacrifices que vous devez faire. Et, il énuméra lesdits sacrifices».
Désorientée, la dame D. D. réunit quelques vieilles personnes et leur avoua son forfait .Mais, hélas ! Comme les murs ont des oreilles, la nouvelle ne tarda pas à faire le tour du quartier. La dame D. D., confuse et abattue, s’enferma chez elle, ne mettant le bout du nez dehors que lorsqu’elle n’en avait pas le choix. Fin aAoût, le fils inceste, accablé par les jaseries, disparut de la circulation sans laisser de trace.
S.N