Que pensez-vous des problèmes actuels du Sénégal ?
Les problèmes du Sénégal ce sont les Wade. Wade et sa famille sucent le peuple, ils brisent l’élan du peuple qui, pendant des décennies a essayé de se construire un avenir propre, respecté et respectable. Nous ne voulons plus de cette famille. Ce n’est plus une question de calendrier républicain. Depuis 2002, mis à part les élections de 2007, Abdoulaye Wade a reporté toutes les élections. Le peuple sénégalais est le propriétaire unique de ce pays. Dans la réalité, le peuple n’est pas souverain, c’est la famille Wade qui est souveraine. Nous demandons à tous les citoyens de ce pays de se mobiliser pour sauver le Sénégal qui n’est plus un pays normal.
Au moment où Wade déclare sa candidature, Benno Siggil Senegaal tarde à trouver un consensus en perspective de 2012 ?
Je trouve qu’il est normal qu’il y ait des positions divergentes au sein de Benno car c’est plus de trente (30) partis. C’est normal d’avoir des soubressauts et qu’au cours d’un débat contradictoire, on trouve un consensus. L’existence de ce débat montre qu’il y a une vitalité au sein de Benno. Il faut comprendre qu’il y a des priorités. La priorité n’est pas d’élire Samba ou Demba ou Aida mais, de sauver les sénégalais. Le problème qui se pose est de venir à bout de ce régime. Il faut surtout être à la disposition du peuple sénégalais. Je ne vois que le Benno comme organisation qui dispose de potentialités qui pourrait accélérer ce processus latent au sein du peuple sénégalais. Il n’attend qu’à être encadré.
Quelle suite doit-on donner aux révélations contenues dans le livre "Contes et mécomptes de l’Anoci" du journaliste Abdou Latif Coulibaly ?
Aujourd’hui, Abdoulatif Coulibaly a écrit un livre très clair et il est resté dans ce pays comme cela a été le cas avec son livre sur Me Seye. Alors, il y a un citoyen de trop en liberté. Soit on met Abdou Latif Coulibaly en prison, soit Wade et son fils vont en prison. En démocratie, il n’y a pas de justice à deux vitesses.
Comment analysez-vous la volonté de supprimer le second tour ?
C’est Wade qui prend des initiatives de diversion et de divertissement. Nous en tant que citoyen, notre responsabilité est de nous organiser, de nous unir et de tirer dans la même direction. Si le Benno gagne le pari de l’unité et qu’il réussisse à organiser l’élan du peuple., Wade va partir, il doit partir, il peut partir et il partira.
Où en est la procédure judiciaire concernant votre agression ?
Le doyen des juges a décidé d’éteindre l’action publique dans la procédure où nous étions partie civile. Mes avocats ont immédiatement interjeté appel. A ce niveau, ce sont eux qui s’en occupent. Des avocats étrangers inscrits au barreau de Paris vont se joindre au pool pour internationaliser le dossier. Une plainte va être déposé au niveau des juridictions internationales. Des amis sont en train de préparer un film sur cette affaire. Pour eux, l’impunité doit cesser. Ce genre d’initiatives pourrait permettre de restaurer la vérité.
Les problèmes du Sénégal ce sont les Wade. Wade et sa famille sucent le peuple, ils brisent l’élan du peuple qui, pendant des décennies a essayé de se construire un avenir propre, respecté et respectable. Nous ne voulons plus de cette famille. Ce n’est plus une question de calendrier républicain. Depuis 2002, mis à part les élections de 2007, Abdoulaye Wade a reporté toutes les élections. Le peuple sénégalais est le propriétaire unique de ce pays. Dans la réalité, le peuple n’est pas souverain, c’est la famille Wade qui est souveraine. Nous demandons à tous les citoyens de ce pays de se mobiliser pour sauver le Sénégal qui n’est plus un pays normal.
Au moment où Wade déclare sa candidature, Benno Siggil Senegaal tarde à trouver un consensus en perspective de 2012 ?
Je trouve qu’il est normal qu’il y ait des positions divergentes au sein de Benno car c’est plus de trente (30) partis. C’est normal d’avoir des soubressauts et qu’au cours d’un débat contradictoire, on trouve un consensus. L’existence de ce débat montre qu’il y a une vitalité au sein de Benno. Il faut comprendre qu’il y a des priorités. La priorité n’est pas d’élire Samba ou Demba ou Aida mais, de sauver les sénégalais. Le problème qui se pose est de venir à bout de ce régime. Il faut surtout être à la disposition du peuple sénégalais. Je ne vois que le Benno comme organisation qui dispose de potentialités qui pourrait accélérer ce processus latent au sein du peuple sénégalais. Il n’attend qu’à être encadré.
Quelle suite doit-on donner aux révélations contenues dans le livre "Contes et mécomptes de l’Anoci" du journaliste Abdou Latif Coulibaly ?
Aujourd’hui, Abdoulatif Coulibaly a écrit un livre très clair et il est resté dans ce pays comme cela a été le cas avec son livre sur Me Seye. Alors, il y a un citoyen de trop en liberté. Soit on met Abdou Latif Coulibaly en prison, soit Wade et son fils vont en prison. En démocratie, il n’y a pas de justice à deux vitesses.
Comment analysez-vous la volonté de supprimer le second tour ?
C’est Wade qui prend des initiatives de diversion et de divertissement. Nous en tant que citoyen, notre responsabilité est de nous organiser, de nous unir et de tirer dans la même direction. Si le Benno gagne le pari de l’unité et qu’il réussisse à organiser l’élan du peuple., Wade va partir, il doit partir, il peut partir et il partira.
Où en est la procédure judiciaire concernant votre agression ?
Le doyen des juges a décidé d’éteindre l’action publique dans la procédure où nous étions partie civile. Mes avocats ont immédiatement interjeté appel. A ce niveau, ce sont eux qui s’en occupent. Des avocats étrangers inscrits au barreau de Paris vont se joindre au pool pour internationaliser le dossier. Une plainte va être déposé au niveau des juridictions internationales. Des amis sont en train de préparer un film sur cette affaire. Pour eux, l’impunité doit cesser. Ce genre d’initiatives pourrait permettre de restaurer la vérité.