Trois nouveaux cas d’intoxication ont été relevés, ces derniers jours, dans les quartiers environnants de Ngagne Diaw, toujours à Thiaroye-sur-mer. Une femme qui travaillait dans la récupération du plomb a conduit mercredi son enfant à l’hôpital de Pikine pour une consultation. Au vu des symptômes dont souffrirait l’enfant, identiques à ceux de la vingtaine d’enfants qui avaient péri intoxiqués, il a été établi que le plomb reste actif dans la zone de Ngagne Diaw.
Les habitants de la zone sont toujours sous la menace de l’intoxication au plomb, malgré les mesures prises par les autorités publiques pour circonscrire le problème, dont la fermeture décidée par le ministre de l’Environnement, Djibo Kâ, de l’usine de traitement ouverte par les Indiens.
Certains expliquent cette recrudescence par deux choses : les inondations qui sévissent dans la zone de Thiaroye qui auraient facilité la dispersion du plomb à travers les eaux stagnantes. L’autre explication avancée est celle qui veut que, jusqu’à présent, certains habitants du quartier conservent chez eux des sacs de plomb. D’où l’appel lancé pour un porte-à-porte afin de sortir du quartier les derniers stocks de ce produit dangereux.
Après avoir mené une étude qui a mis à jour un empoisonnement au plomb, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a demandé une assistance logistique et financière de la communauté internationale pour le Sénégal qui a entrepris d’assainir les localités touchées et une décontamination des personnes affectées.
Les habitants de la zone sont toujours sous la menace de l’intoxication au plomb, malgré les mesures prises par les autorités publiques pour circonscrire le problème, dont la fermeture décidée par le ministre de l’Environnement, Djibo Kâ, de l’usine de traitement ouverte par les Indiens.
Certains expliquent cette recrudescence par deux choses : les inondations qui sévissent dans la zone de Thiaroye qui auraient facilité la dispersion du plomb à travers les eaux stagnantes. L’autre explication avancée est celle qui veut que, jusqu’à présent, certains habitants du quartier conservent chez eux des sacs de plomb. D’où l’appel lancé pour un porte-à-porte afin de sortir du quartier les derniers stocks de ce produit dangereux.
Après avoir mené une étude qui a mis à jour un empoisonnement au plomb, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a demandé une assistance logistique et financière de la communauté internationale pour le Sénégal qui a entrepris d’assainir les localités touchées et une décontamination des personnes affectées.