Dans l’après midi du 24 juillet, vers 15h30, le corps de Maria Grazia Pezzoli Bertini a été trouvé par son mari dans l’Entreprise de bâtiment, la ValCop sas (société de revêtements métalliques), derrière la table du bureau, couché par terre et baignant dans une mare de sang.
Le bureau est contiguë à l’entrée de leur appartement et là aussi des traces de sang ont été relevées. L’autopsie a confirmé que la victime a été tuée de 30 coups de couteau à la poitrine et au cou. L’enquête s’est poursuivie pendant des semaines à travers 150 interrogatoires et 3 descentes sur les lieux par la Police Criminelle RIS de Parme, qui a relevé une cinquantaine d’indices, des traces de sang et des empreintes digitales. Depuis le début de l’enquête, la Police Criminelle a privilégié la piste qui menait à l’Entreprise Familiale que dirigeait la victime. En effet, quelques mois avant
qu’elle soit assassinée, Maria Grazia avait licencié 3 de ses employés.
Et les jours qui ont suivi le meurtre de Maria Grazia Pezzoli, Ali Ndiogou a été entendu par les enquêteurs et, avec une centaine de personnes il a été soumis à un prélèvement de salive. Les analyses de son ADN ont confirmées que les 4 tâches de sang trouvées dehors devant l’entrée de la maison, à côté de la fenêtre à la vitre brisée par l’assassin qui s’est blessé en entrant dans la maison de la victime, sont bien de lui, il en est de même pour les empreintes digitales trouvées sur les lieux du crime.
Voilà les éléments qui ont trahi Ali Ndiogou, le sénégalais de 40 ans arrêté avant hier soir, vendredi 29 août, à 38 jours du délit et mis à la prison de Gleno, accusé d’être le meurtrier de Maria Grazia Pezzoli.
Le sénégalais Ali Ndiogou vit en Italie depuis 10 ans et pendant 7 ans a travaillé pour le couple Bertini jusqu’en 2004. Durant cette année là, pendant qu’il travaillait sur un chantier il a eu un accident de travail, ce qui lui a occasionné un arrêt maladie. C’est de là que les malentendus ont commencé entre Ndiogou et le couple Bertini qui n’a pas voulu payer cet arrêt de travail temporaire, ce qui a poussé Ndiogou à ouvrir un conflit syndical et porter sa revendication devant le tribunal compétent qui devrait trancher en octobre prochain.
Babacar Niang, Florence, Italie.
Le bureau est contiguë à l’entrée de leur appartement et là aussi des traces de sang ont été relevées. L’autopsie a confirmé que la victime a été tuée de 30 coups de couteau à la poitrine et au cou. L’enquête s’est poursuivie pendant des semaines à travers 150 interrogatoires et 3 descentes sur les lieux par la Police Criminelle RIS de Parme, qui a relevé une cinquantaine d’indices, des traces de sang et des empreintes digitales. Depuis le début de l’enquête, la Police Criminelle a privilégié la piste qui menait à l’Entreprise Familiale que dirigeait la victime. En effet, quelques mois avant
qu’elle soit assassinée, Maria Grazia avait licencié 3 de ses employés.
Et les jours qui ont suivi le meurtre de Maria Grazia Pezzoli, Ali Ndiogou a été entendu par les enquêteurs et, avec une centaine de personnes il a été soumis à un prélèvement de salive. Les analyses de son ADN ont confirmées que les 4 tâches de sang trouvées dehors devant l’entrée de la maison, à côté de la fenêtre à la vitre brisée par l’assassin qui s’est blessé en entrant dans la maison de la victime, sont bien de lui, il en est de même pour les empreintes digitales trouvées sur les lieux du crime.
Voilà les éléments qui ont trahi Ali Ndiogou, le sénégalais de 40 ans arrêté avant hier soir, vendredi 29 août, à 38 jours du délit et mis à la prison de Gleno, accusé d’être le meurtrier de Maria Grazia Pezzoli.
Le sénégalais Ali Ndiogou vit en Italie depuis 10 ans et pendant 7 ans a travaillé pour le couple Bertini jusqu’en 2004. Durant cette année là, pendant qu’il travaillait sur un chantier il a eu un accident de travail, ce qui lui a occasionné un arrêt maladie. C’est de là que les malentendus ont commencé entre Ndiogou et le couple Bertini qui n’a pas voulu payer cet arrêt de travail temporaire, ce qui a poussé Ndiogou à ouvrir un conflit syndical et porter sa revendication devant le tribunal compétent qui devrait trancher en octobre prochain.
Babacar Niang, Florence, Italie.
Maria Grazia Pezzoli