
Iba Der Thiam a interpellé le gouvernement à se pencher sur la nouvelle forme de violence générée par la lutte. Il demande également dans une question d’actualité, selon Aps, « comment il compte mettre un terme à la nouvelle forme de violence causée par la lutte avec frappe ». Il soulève la question des faces-à-faces entre lutteurs. Le député libéral estime que cela a des effets néfastes et que les acteurs qui le font ne visent qu’à manipuler les amateurs et engranger le maximum de profit. Il fait ainsi allusion aux joutes oratoires organisés souvent par les prometteurs de lutte, transmises en direct à la télévision. Il souligne qu’il est temps que la responsabilité des promoteurs soit clairement située et celle de tous les partenaires revisitées avec conscience, rigueur et sérénité. Iba Der Thiam a cependant incité le gouvernement à réfléchir également sur la sur-médiatisation irresponsable et incontrôlée qu’elle occasionne sans oublier le dérapage publicitaire. Le député dénonce aussi le fait que les cours des écoles soient investies par les lutteurs. Des enfants embrigadés et des artistes instrumentalisés surtout des prétendus voyants mis sur orbite pour appâter le public sans mesurer les conséquences.