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Ibliss n’est pas Sénégalais… mais !...

Cinq morts. Six morts !... On ne joue pas avec la mort des autres. Une certaine opposition s’y complaît. Pour avoir lié un pacte avec le diable. Les enjeux sous jacents sont plus ténus qu’on ne le croit. Au-delà de la présidentielle du 26 février, on est en face de règlements de compte systématisés. Ousmane Tanor Dieng/Moustapha Gnasse. Aminata Tall/Idrissa Seck. Idrissa Seck/Macky Sall. Me Wade/Idrissa Seck. Me Wade/Moustapha Gnasse. C’est que, toute une génération politique en est à son last poker.


Rédigé par leral.net le Lundi 6 Février 2012 à 09:38 | | 0 commentaire(s)|

Ibliss n’est pas Sénégalais… mais !...
Les cinq, six, Sénégalais ‘’cadavérisés’’, dans la ville de Dakar spoliée. Salie impunément. Prise en otage. Prise en otage par une ringarde ‘’clicaïlle’’ politique. Les cinq, six, Sénégalais ne sont certainement pas morts pour rien. Et, si leur sang, si légèrement versé, en ces jours sans, concourt au sacrifice auquel faisait allusion l’honorable Jean Paul Diazz ? Un sacrifice pour l’éclatement du pouvoir, et non sa pérennisation. Justement, nous voilà arrivés à la lie du viol des consciences et des foules. La Théorie subversive a été enclenchée. Le Sénégal sera la Côte-d’Ivoire. Me Wade est Gbagbo. Quels gros mots ! Quels sacrilèges ! Aujourd’hui, toute cette ringarde ‘’politicaille’’ est désemparée de la non prise de la mayonnaise de l’insurrection. Etonnée qu’elle a été, de voir la majorité silencieuse de la population sénégalaise, devant donner son verdict, le 26 février prochain, vaquer à ses ordinaires occupations. Voilà, même, qu’on envisage qu’elle ne vote pas.

C’est du désir de ces gens, pris d’un indicible délirium tremens frisant la catharsis, et qui en ont oublié que la démocratie est dans la dialectique de l’évolution des peuples. Pour avoir voulu la parachever au Sénégal, le président Abdoulaye Wade en reçoit les effets boomerang. Les manchettes de certains tabloïds feraient pâlir les théoriciens du génocide dans les territoires bordant la zone des Grands lacs. Au propre, comme au figuré, excusez du terme, c’est de la cacade ! Ici, maintenant, prenant DIEU à témoin, nous disons que la DEMOCRATIE, dans ce pays, le nôtre, sera ce qu’en feront les SENEGALAIS… Et il est sûr qu’ils n’entendent plus se laisser prendre en otages par des gens aux sombres ambitions… La surenchère a commencé bien avant le délibéré du Conseil constitutionnel. D’ailleurs, qui sont les manifestants ? Zoom sur de vrais sales gosses. Il est utile de faire remarquer que toute la chienlit a été orchestrée dans les caves du siège du Parti socialiste à Colobane. Chez Moustapha Gnasse. Chez ‘’her professor’’ Alioune Tine.

Les manifestants, manipulés, sont des enfants entre 20, 35, voire 50 ans, qui n’ont jamais réussi la moindre chose au cours de leurs existence. Ils n’ont rien. Ils ne sont absolument rien. Ni métier. Ni savoir-faire. Pour dire qu’on a été en face de vrais ratés, piqués à délirer ! Rien que des résidus, de faux rejetons de la vieille bourgeoisie compradore et ‘’cadavérisante’’. Où se trouve aujourd’hui la jeunesse combative, la jeunesse réactive au Sénégal ? Maintenant, cette jeunesse utile vient, pour l’essentiel, des campagnes. Elle n’a ni le temps des futilités. Ni le temps d’être manipulée. C’est pourquoi, jamais, on ne l’a vue dans la chienlit des jours sans. A satiété, les médias du diable en ont bassiné les Sénégalais. De malheurs. De catastrophes. Et d’autres non dits…. Pendant ce temps, nos compatriotes dans leur grande majorité, gens responsables et autrement préoccupés à participer au développement du Sénégal, vaquaient normalement à leurs ordinaires occupations. ‘’Ibliss n’est pas Sénégalais… mais !’’.

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