Ibrahima Ndiaye, responsable libéral à Sibassor : «Nous populations de Sibassor avons une grande dette envers le président Wade »

La campagne électorale suit son cours et les candidats sont à l’assaut des localités où ils espèrent engranger le plus grand nombre de voix. Celles de Sibassor sont déjà acquises à Me Wade. C’est du moins l'avis d'Ibrahima Ndiaye et de ses amis qui louent le travail abattu dans cette localité par le régime libéral.

A l’en croire, en douze années de règne, Abdoulaye Wade a doté Sibassor qui n’avait qu’une seule école, de cinq écoles primaires, d’un C E M (Cours moyen secondaires), d’un lycée, un poste de santé dont il est le président et un foyer des femmes. Ce n’est pas tout. Car de l’avis d’Ibrahima Ndiaye, un stade municipal a été construit sous le magistère d’Abdoulaye Wade. « Cette année, nous avons bénéficié de 75 tonnes d’intrants », ajoute Ibrahima Ndiaye, responsable libéral de Sibassor. Mais la cerise sur le gâteau aura été la communalisation de Sibassor qui était toujours sous l’ombre de Kaolack.

Autant de réalisations qui font que les libéraux de Sibassor ne peuvent que plébisciter Wade. «Nous populations de Sibassor avons une grande dette envers le président Wade. Lors de son passage prochain à Kaolack, il verra qu’il n’a pas affaire à des ingrats », nous confie Ibrahima Ndiaye qui réitère l’engagement de tout Sibassor derriere le directeur de campagne de Me Wade, Souleymane Ndéné Ndiaye et Samba Ndiaye de « Aar Soopi ».