Un dossier qui est par ailleurs loin de le laisser insensible. «Je suis peiné, le Sénégal n’a que deux chefs d’Etat encore en vie, Abdoulaye wade et Abdoul Diouf et il est pénible et même dramatique que le fils de l’un va honorer en novembre Abdou Diouf et va déshonorer à travers ce procès son père politique et spirituel. Ça me peine humainement ».
L’autre peine, dira Idrissa Seck, «ce sont les enfants de Karim qui sont en France qui sont à la fois privés de leur mère rappelée à Dieu et de leur père dans les liens de la détention parce que l’une d’elles, c’est moi qui l’ai portée lors du baptême au palais en 2000 et aujourd’hui elle est grande, j’ai une pensée pour elle ».
Dans le cadre de ce dossier, propose l’ancien premier ministre, « il faut d’abord la vérité ». Mais, «s’il y a préjudice causé au peuple sénégalais que ces préjudices soient réparés. Enfin le dialogue pour la paix et la concorde nationales. Cité parmi les témoins dudit dossier, le Président du Conseil Départemental de Thiès de dire, « si on me pose des questions, je ne témoignerai qu’en relation avec la vérité ».
Pressafrik
L’autre peine, dira Idrissa Seck, «ce sont les enfants de Karim qui sont en France qui sont à la fois privés de leur mère rappelée à Dieu et de leur père dans les liens de la détention parce que l’une d’elles, c’est moi qui l’ai portée lors du baptême au palais en 2000 et aujourd’hui elle est grande, j’ai une pensée pour elle ».
Dans le cadre de ce dossier, propose l’ancien premier ministre, « il faut d’abord la vérité ». Mais, «s’il y a préjudice causé au peuple sénégalais que ces préjudices soient réparés. Enfin le dialogue pour la paix et la concorde nationales. Cité parmi les témoins dudit dossier, le Président du Conseil Départemental de Thiès de dire, « si on me pose des questions, je ne témoignerai qu’en relation avec la vérité ».
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