Le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne a commencé par les professeurs d’universités qui ont signé la déclaration fustigeant le président de la République et les 5 sages du Conseil constitutionnel. Pour lui, ces derniers sont des politiciens encagoulés, des responsables de parti qui se réfugient derrière le manteau d’universitaire pour faire de la politique. En guise d’exemple, il cite l’Udf qui est dirigé, selon lui, par un professeur, secrétaire général d’un parti de l’opposition créé pour briguer les suffrages des Sénégalais. Il y en a un autre, révèle-t-il, qui se réclame professeur et qui, en fait, est un maître assistant. Lui aussi était, à l'en croire, directeur de cabinet de Cheikh Bamba Dièye. « Vérifiez. Il est signataire. Donc, on a un secrétaire général de parti politique de l’opposition, un ancien directeur de cabinet membre connu d’un parti politique dirigé par Cheikh Bamba Dièye ». Précisant ne pas discuter de la crédibilité du Manifeste, il estime toutefois que ces professeurs « n’ont pas parlé en tant qu’universitaires mais en tant qu’hommes politiques qui veulent briguer les suffrages des Sénégalais ».
Parlant de l’opposition et de la société civile, il martèle : « Mais ces gens qui nous parlent d’éthique de morale, je voudrais bien qu’on me dise qui ils sont. Vous pensez que le fait qu’Idrissa Seck et Me Mame Adama Guèye se retrouvent autour de la même table ne pose pas de problème ? Une personne qui est accusé d’avoir pris 74 milliards Cfa ». Une accusation à laquelle nos confrères opposent un manque de preuves. « Accusation pas fondée avec des copies de chèques ? Mais comment ? Ce que les gens ne disent pas, c’est qu’il y a des éléments nouveaux dans ce dossier. Les gens ont la traçabilité de certains fonds avec une banque belge. Il y a la traçabilité d’actions achetées au niveau de bourses américaines. C’est à coups de milliards de francs Cfa ! Je crois que le Forum civil n’est pas cohérent sinon, il n’aurait jamais accepté d’être sur la même table qu’Idrissa Seck sans avoir éclairé ce problème », rétorque-t-il.
S’en prenant à Me Mame Adama Guèye, M. Niang dira : « Il y a aussi Mame Adama Guèye. Les gens de ma génération lui réclament leurs 25 francs et 100 francs. Je rappelle qu’en 1990, il était dans une commission qui avait décidé de vendre, pour soutenir l’équipe du Sénégal, des calendriers des matches à cent mille élèves sénégalais. Cet argent-là, on ne sait pas où il est passé. Est-ce que cette personne peut nous parler d’éthique ? ». Aux confrères qui demandent s’il a les preuves de ce qu’il avance, il dit : « Vous êtes journaliste, allez chercher ! C’est dans un rapport en 1991 de la Cour des comptes de l’époque.
« Parlons d’Oumar Sarr. Quelle leçon devrait-on attendre d’un homme qui prend une maison de l’Etat, qui le loue à un privé et qui perçoit des loyers à la fin de chaque mois. De quelle crédibilité peut se prévaloir un tel homme ? Pour moi, ce front ne peut pas s’appeler Front du refus… Et leurs discours ne sont pas pour l’intérêt commun mais servent leur intérêt personnel… », conclut-il.
Parlant de l’opposition et de la société civile, il martèle : « Mais ces gens qui nous parlent d’éthique de morale, je voudrais bien qu’on me dise qui ils sont. Vous pensez que le fait qu’Idrissa Seck et Me Mame Adama Guèye se retrouvent autour de la même table ne pose pas de problème ? Une personne qui est accusé d’avoir pris 74 milliards Cfa ». Une accusation à laquelle nos confrères opposent un manque de preuves. « Accusation pas fondée avec des copies de chèques ? Mais comment ? Ce que les gens ne disent pas, c’est qu’il y a des éléments nouveaux dans ce dossier. Les gens ont la traçabilité de certains fonds avec une banque belge. Il y a la traçabilité d’actions achetées au niveau de bourses américaines. C’est à coups de milliards de francs Cfa ! Je crois que le Forum civil n’est pas cohérent sinon, il n’aurait jamais accepté d’être sur la même table qu’Idrissa Seck sans avoir éclairé ce problème », rétorque-t-il.
S’en prenant à Me Mame Adama Guèye, M. Niang dira : « Il y a aussi Mame Adama Guèye. Les gens de ma génération lui réclament leurs 25 francs et 100 francs. Je rappelle qu’en 1990, il était dans une commission qui avait décidé de vendre, pour soutenir l’équipe du Sénégal, des calendriers des matches à cent mille élèves sénégalais. Cet argent-là, on ne sait pas où il est passé. Est-ce que cette personne peut nous parler d’éthique ? ». Aux confrères qui demandent s’il a les preuves de ce qu’il avance, il dit : « Vous êtes journaliste, allez chercher ! C’est dans un rapport en 1991 de la Cour des comptes de l’époque.
« Parlons d’Oumar Sarr. Quelle leçon devrait-on attendre d’un homme qui prend une maison de l’Etat, qui le loue à un privé et qui perçoit des loyers à la fin de chaque mois. De quelle crédibilité peut se prévaloir un tel homme ? Pour moi, ce front ne peut pas s’appeler Front du refus… Et leurs discours ne sont pas pour l’intérêt commun mais servent leur intérêt personnel… », conclut-il.