La chronique « Les lundis de Madiambal » est devenue une sorte de péril fécal mental qui a comme soubassement l’affabulation, le mensonge, l’acharnement gratuit et la mesquinerie.
En déclarant que « la corruption est présente et constitue l’une des principales tares de l’équipe dirigée par Abdoul Mbaye, et que le Sénégal en est arrivé à une situation où tout acte posé par le Premier ministre ou son ministre des Finances est suspect », Madiambal ne verse-t-il pas dans l’accusation gratuite qui enlève à sa chronique toute crédibilité ?
Mais il faut reconnaître que le gus n’en a cure ! Car pour lui, la haine viscérale que nourrissent ses commanditaires vis-à-vis d’Abdoul Mbaye, et qu’il doit satisfaire à tout prix, prime sur tout. Même s’il doit se départir de sa dernière once de dignité, il ira jusqu’au bout.
Le vautour est-il en manque pour se jeter corps et âme dans les bras de ses nouveaux mentors ? L’on sait que les libéraux qui lui servaient de vaches à lait, avec les chantages qu’il exerçait sur eux, ne sont plus au pouvoir.
Le Sénégal a besoin de journalistes mus par l’éthique et la déontologie, qui font des analyses pertinentes et non des déclarations trop légères et non fondées. Déclarations qui ressemblent plus à des ragots et discussions de café de commerce qu’à de véritables investigations.
La rancune tenace et le désir de détruire par tous les moyens la personne du Premier ministre décrédibilise le patron du journal « Le Quotidien », de jour en jour, auprès de l’opinion. Dans la pratique du métier de journaliste, il est difficile de faire pire que Madiambal. Car, en usant de son organe de presse à des fins personnelles, au lieu de s’en servir comme un outil de transmission de l’information à ses lecteurs, le maître chanteur a transformé le « Quotidien » en une tribune de règlements de comptes, de délation et de diffamation pour détruire du citoyen.
Les articles de Madiambal sont devenus un ramassis nauséabond de médisance, de mensonges ou de propos sans preuve.
En matière de morale et de gestion vertueuse, il doit être le dernier à donner de leçons. Qu’il raconte comment il a « tué » les journalistes du magazine « Week end » sous le prétexte fallacieux et la formule légère du « licenciement économique » !
Qu’il s’explique sur le coup tordu et salace qu’il a donné à la sœur d’un de ses amis. Scandale qui a vite été étouffé pour ne pas le voir « jeté en pâture » à l’opinion.
Madiambal doit beaucoup méditer sur l’histoire d’Icare (personnage de la mythologie grecque) qui s’était approché du soleil avec des ailes en cire. En prendra-t-il le risque ? Ce sera pour lui le pire !
LE CYCLOPE
En déclarant que « la corruption est présente et constitue l’une des principales tares de l’équipe dirigée par Abdoul Mbaye, et que le Sénégal en est arrivé à une situation où tout acte posé par le Premier ministre ou son ministre des Finances est suspect », Madiambal ne verse-t-il pas dans l’accusation gratuite qui enlève à sa chronique toute crédibilité ?
Mais il faut reconnaître que le gus n’en a cure ! Car pour lui, la haine viscérale que nourrissent ses commanditaires vis-à-vis d’Abdoul Mbaye, et qu’il doit satisfaire à tout prix, prime sur tout. Même s’il doit se départir de sa dernière once de dignité, il ira jusqu’au bout.
Le vautour est-il en manque pour se jeter corps et âme dans les bras de ses nouveaux mentors ? L’on sait que les libéraux qui lui servaient de vaches à lait, avec les chantages qu’il exerçait sur eux, ne sont plus au pouvoir.
Le Sénégal a besoin de journalistes mus par l’éthique et la déontologie, qui font des analyses pertinentes et non des déclarations trop légères et non fondées. Déclarations qui ressemblent plus à des ragots et discussions de café de commerce qu’à de véritables investigations.
La rancune tenace et le désir de détruire par tous les moyens la personne du Premier ministre décrédibilise le patron du journal « Le Quotidien », de jour en jour, auprès de l’opinion. Dans la pratique du métier de journaliste, il est difficile de faire pire que Madiambal. Car, en usant de son organe de presse à des fins personnelles, au lieu de s’en servir comme un outil de transmission de l’information à ses lecteurs, le maître chanteur a transformé le « Quotidien » en une tribune de règlements de comptes, de délation et de diffamation pour détruire du citoyen.
Les articles de Madiambal sont devenus un ramassis nauséabond de médisance, de mensonges ou de propos sans preuve.
En matière de morale et de gestion vertueuse, il doit être le dernier à donner de leçons. Qu’il raconte comment il a « tué » les journalistes du magazine « Week end » sous le prétexte fallacieux et la formule légère du « licenciement économique » !
Qu’il s’explique sur le coup tordu et salace qu’il a donné à la sœur d’un de ses amis. Scandale qui a vite été étouffé pour ne pas le voir « jeté en pâture » à l’opinion.
Madiambal doit beaucoup méditer sur l’histoire d’Icare (personnage de la mythologie grecque) qui s’était approché du soleil avec des ailes en cire. En prendra-t-il le risque ? Ce sera pour lui le pire !
LE CYCLOPE