Interrogé sur l’état de l’économie sénégalaise, il pense que les difficultés économiques du Sénégal sont à mettre sur le compte de la mauvaise gestion. Il estime que l’Etat doit payer la dette intérieure des entreprises, contrairement aux chiffres avancés avoisinent, les 500 Milliards. Ce n’est pas normal, à son avis de ne pas payer les entreprises, les PME parce qu’elles-mêmes ne pourront payer les banques, leurs salariés.
Abordant la question du budget de l’Etat, il estime que 1700 milliards, "ce n’est pas réaliste, ce n’est pas possible et malheureusement l’Assemblée Nationale n’y peut rien". L’Etat compte tirer 200 milliards, de la fiscalité, alors que les entreprises ne peuvent plus payer, et une autre partie de l’extérieur, alors que ces pays sont frappés par la crise. Il pense que l’Etat devrait se serrer la ceinture, en rappelant qu’en 2000, l’économie était excédentaire.
Sur la question de la crise financière aux Etats Unis, il déclare que ceux qui disent que la crise financière n’aura aucune incidence sur l’Afrique "racontent n’importe quoi". Le Dollars qui est en train de monter est la monnaie de référence mondiale, et notre monnaie ne repose pas sur lui, mais sur l’Euro.
Sur le projet de l’emploi des jeunes en banlieue, M. Dias se pose la question de la pertinence d’un plan uniquement pour la banlieue : "pourquoi pas Castors, pourquoi pas les régions ? Et avec quel argent ?". Il avoue ne pas être convaincu par ce plan, même s’il ne peut pas dire que c’est un chimère puisqu’il n’ a pas tous les éléments.
Réagissant à l’élection d’Obama, il déclare, que le mouvement a commencé avec Rosa Park, cette femme noire qui a refusé sa place à un blanc, dans un bus, alors qu’on était en pleine discrimination raciale aux Etats Unis. Cela a permis, à son avis, à Martin Luther King de s’affirmer et qui a aussi permis à Obama se s’imposer comme il l’a fait. Il rebondit sur cette situation en affirmant qu’au Sénégal, les populations doivent s’inspirer de ces modèles : "il faut élire des gens sérieux". Il pense qu’on n’a pas toujours élu des gens sérieux. Il conclut en s’adressant aux populations : "si on vous donne de l’argent, prenez et faites ce que vous voulez, mais élisez des gens sérieux".
Abordant la question du budget de l’Etat, il estime que 1700 milliards, "ce n’est pas réaliste, ce n’est pas possible et malheureusement l’Assemblée Nationale n’y peut rien". L’Etat compte tirer 200 milliards, de la fiscalité, alors que les entreprises ne peuvent plus payer, et une autre partie de l’extérieur, alors que ces pays sont frappés par la crise. Il pense que l’Etat devrait se serrer la ceinture, en rappelant qu’en 2000, l’économie était excédentaire.
Sur la question de la crise financière aux Etats Unis, il déclare que ceux qui disent que la crise financière n’aura aucune incidence sur l’Afrique "racontent n’importe quoi". Le Dollars qui est en train de monter est la monnaie de référence mondiale, et notre monnaie ne repose pas sur lui, mais sur l’Euro.
Sur le projet de l’emploi des jeunes en banlieue, M. Dias se pose la question de la pertinence d’un plan uniquement pour la banlieue : "pourquoi pas Castors, pourquoi pas les régions ? Et avec quel argent ?". Il avoue ne pas être convaincu par ce plan, même s’il ne peut pas dire que c’est un chimère puisqu’il n’ a pas tous les éléments.
Réagissant à l’élection d’Obama, il déclare, que le mouvement a commencé avec Rosa Park, cette femme noire qui a refusé sa place à un blanc, dans un bus, alors qu’on était en pleine discrimination raciale aux Etats Unis. Cela a permis, à son avis, à Martin Luther King de s’affirmer et qui a aussi permis à Obama se s’imposer comme il l’a fait. Il rebondit sur cette situation en affirmant qu’au Sénégal, les populations doivent s’inspirer de ces modèles : "il faut élire des gens sérieux". Il pense qu’on n’a pas toujours élu des gens sérieux. Il conclut en s’adressant aux populations : "si on vous donne de l’argent, prenez et faites ce que vous voulez, mais élisez des gens sérieux".