Il est une personne comme il en existe très peu ! James, un travailleur de 56 ans, effectue chaque jour plus de 60 kilomètres… à pied. 33 à l’aller, et logiquement, 33 au retour, après ses journées de 8 heures. Et en 10 ans de dur labeur, il n’a jamais été absent une seule fois ! Qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, l’homme très courageux a toujours été fidèle au poste. Et ce 5 jours par semaine. L’entreprise qui l’emploie peut se targuer d’avoir dans ses rangs le salarié le plus exemplaire du monde, ça ne fait pas de doute !
Mais si ce cher James fait ce type d’efforts, qu’on pourrait qualifier d’inhumains, chaque jour, ce n’est pas pour sa passion de la randonnée. La réalité, c’est qu’aucun transport public ne fait la liaison entre son domicile et son lieu de travail. Vous allez me dire qu'il pourrait très bien avoir une voiture, comme tout le monde ! Oui mais sa vieille Honda l’a lâché il y a maintenant 10 ans, et avec une paye qui n’atteint même pas les 10 euros de l’heure, il n’a pas du tout le budget pour s’en acheter une autre…
C’est donc le comble absolu pour lui d’habiter à Détroit, quand on sait que la ville est la capitale de l’industrie automobile américaine. Pire encore, l’usine qui l’emploie fabrique des pièces en plastique pour des clients comme par exemple… General Motors, le leader mondial de la construction automobile !
Heureusement, le calvaire du courageux James va bientôt pouvoir prendre fin. Pendant ces 10 longues et dures années, jamais personne ne l’a entendu se plaindre, que ce soit ses collègues ou les habitants du coin. Mais à force de le voir marcher tous les matins au bord de la route, ils ont fini par le remarquer et ont été touchés par son histoire ahurissante.
Dans la foulée, une campagne de souscription a été lancée sur Internet dans le bus lui acheter "une petite voiture sympa". Mais en fait, James va même sûrement pouvoir s’acheter la voiture de ses rêves. En effet, la collecte de fond dont l’objectif était de 25 000 dollars est montée jusqu’à 130 000 dollars (soit environ 115 000 euros) ! Et tout ça, en seulement 48 heures… une solidarité impressionnante qui fait vraiment chaud au cœur, et qui est l’œuvre de 4691 généreux donateurs.
Dorénavant, James va pouvoir se reposer, partir plus tard le matin, et rentré plus tôt le soir. Et personne ne dira qu’il ne l’a pas mérité !
Mais si ce cher James fait ce type d’efforts, qu’on pourrait qualifier d’inhumains, chaque jour, ce n’est pas pour sa passion de la randonnée. La réalité, c’est qu’aucun transport public ne fait la liaison entre son domicile et son lieu de travail. Vous allez me dire qu'il pourrait très bien avoir une voiture, comme tout le monde ! Oui mais sa vieille Honda l’a lâché il y a maintenant 10 ans, et avec une paye qui n’atteint même pas les 10 euros de l’heure, il n’a pas du tout le budget pour s’en acheter une autre…
C’est donc le comble absolu pour lui d’habiter à Détroit, quand on sait que la ville est la capitale de l’industrie automobile américaine. Pire encore, l’usine qui l’emploie fabrique des pièces en plastique pour des clients comme par exemple… General Motors, le leader mondial de la construction automobile !
Heureusement, le calvaire du courageux James va bientôt pouvoir prendre fin. Pendant ces 10 longues et dures années, jamais personne ne l’a entendu se plaindre, que ce soit ses collègues ou les habitants du coin. Mais à force de le voir marcher tous les matins au bord de la route, ils ont fini par le remarquer et ont été touchés par son histoire ahurissante.
Dans la foulée, une campagne de souscription a été lancée sur Internet dans le bus lui acheter "une petite voiture sympa". Mais en fait, James va même sûrement pouvoir s’acheter la voiture de ses rêves. En effet, la collecte de fond dont l’objectif était de 25 000 dollars est montée jusqu’à 130 000 dollars (soit environ 115 000 euros) ! Et tout ça, en seulement 48 heures… une solidarité impressionnante qui fait vraiment chaud au cœur, et qui est l’œuvre de 4691 généreux donateurs.
Dorénavant, James va pouvoir se reposer, partir plus tard le matin, et rentré plus tôt le soir. Et personne ne dira qu’il ne l’a pas mérité !